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Nous cuisons tous nos aliments de différentes façons. Au barbecue, à la poêle ou au four… Toutes les méthodes sont bonnes pour se faire à manger mais toutes ces méthodes n’ont pas le même impact sur la qualité nutritionnelle de nos aliments. Découvrez ici les principaux arguments de pourquoi il faudrait privilégier la cuisson à la vapeur. Elle respecte le mieux la nature des aliments et leurs teneurs en nutriments, et évite la production de composés toxiques et parfois cancérigènes. Et elle est surtout extrêmement pratique. Tous les détails dans l’article.

Mis à jour le 11 mars 2019

Le feu, et les premières cuissons

Cuire nos aliments est possible depuis la nuit des temps, et plus précisément depuis la domestication du feu par Homo erectus vers 450.000 ans avant jésus-christ.

L’apparition de la cuisson aura permis, entre autres choses, de rendre les protéines animales plus assimilables et d’augmenter mécaniquement et graduellement le volume de la boîte crânienne.

Le feu est aujourd’hui à l’origine de l’incroyable développement de notre boite crânienne et par extension, du volume de notre cerveau et donc de nos capacités cognitives.

Les cuissons d’aujourd’hui

Il existe des dizaines de cuissons différentes à l’heure actuelle pour différent type de plats, d’aliments et selon les tradition. Les fameux oeufs pochée, les bouillie, les cuissons au four ou à la poêle, au célèbre barbecue – tristement connu pour la création de composés noirs cancérigènes –, à l’étouffée ou encore au four à micro-onde

Tous ces modes de cuissons ont au moins un point commun : une température spécifique, plus ou moins forte, qui permet la cuisson des aliments.

Il est admis aujourd’hui que les cuissons avec les plus hautes températures (barbecue, four traditionnel, et poêle) génèrent le plus d’AGE, des amines hétérocycliques toxiques et cancérigènes pour l’organisme.

La cuisson au barbecue étant l’une des plus dangereuses car les températures atteignent les 800 à 1000°C, et dénaturent complètement les propriétés nutritionnelles des aliments.

Le saviez-vous ? L’utilisation des fours à micro-onde sont fortement décriée pour des raisons choquantes (diminution de la fertilité, interdiction dans des pays, etc.), mais qu’en est-il réellement ? Découvrez la réalité des dangers sur les fours à micro-ondes.

***

La question est donc posée…

>> Comment faire cuire efficacement nos aliments, tout en préservant au maximum les qualités nutritionnelles et gustatives ?

Les avantages de la cuisson à la vapeur

Les propriétés de la cuisson à la vapeur font d’elle le mode de cuisson idéal de notre quotidien. Cette cuisson possède des conditions de température idéales, ne génère pas de composés toxiques et évite au maximum la perte des nutriments essentiels.

Voici les raisons scientifiques, techniques, et comportementales de la vertueuse cuisson à la vapeur.

Limite la perte des nutriments dans l’eau de cuisson

Vous êtes peut-être un adepte pour bouillir certains de vos aliments afin de préparer des plats intéressants sur le plan santé, mais également délicieux sur le plan gustatif.

Cependant, vous devez savoir que ce type de cuisson (bouillie) entraine une forte perte des nutriments des aliments solubles dans l’eau de cuisson.

La cuisson à la vapeur évite cette perte de nutriments, et permet donc de concentrer au maximum les nutriments essentiels pour la bonne santé de votre organisme.

Limite la dégradation des nutriments (vitamines, enzymes, etc.)

L’une des propriétés fondamentales de la cuisson à la vapeur est sa température contrôlée, inférieure ou égale à 100°C, qui empêche fortement la dégradation des enzymes, et des oligo-éléments présents dans les aliments.

Les températures très élevées des cuissons (supérieures à 100°C, voire 200°C) déforment la structure tridimensionnelle des enzymes, ce qui les rend inactives et donc inutiles pour l’organisme.

La dégradation des enzymes est observée dans les cuissons au four traditionnel à haute température, dans le four à micro-onde (sous certaines conditions d’utilisation), à la poêle, et bien sûr au barbecue.

Aucun composé toxique néoformé

On ne peut pas rater ces petites tâches noires qui sont des signes d’une carbonisation – trop – avancée. Ce sont des composés cancérigènes.

La cuisson à la vapeur est reconnue scientifiquement pour ses vertus santé car elle évite la formation de composés cancérigènes, qui s’accumulant dans l’organisme peuvent être dangereux pour la santé.

Ces composés ce sont les AGEs, ou les amines hétérocycliques résultant de la cuisson entre une protéine et un glucide à trop forte température.

Les AGE peuvent donc se former lors d’une cuisson au four traditionnel, à la poêle, et préférentiellement au barbecue où les températures sont les plus extrêmes, et de facto, les plus dangereuses.

Permet de cuire des repas « complets »

L’avantage incontestable des cuiseurs à la vapeur est la possibilité de cuire plusieurs gammes d’aliments afin de préparer un repas très équilibré.

Dans la pratique, les cuiseurs à la vapeur sont (bien souvent) composés de plusieurs étages, ce qui permet de cumuler une grande quantité d’aliments, d’origine très différente.

Un exemple très concret, que j’applique presque quotidiennement, me permet de cuire très simplement des repas très équilibrés…

Le premier étage du cuiseur est réservé aux :

  • Légumes (carottes, choux de chine, aubergines, haricots, navets, courgettes, brocolis, etc.)
  • Féculents (pomme de terre, igname, manioc, etc.)

Le deuxième étage (on peut l’inverser avec le premier) peut recevoir le riz (blanc ou complet) dans des sachets prévus à cet effet ou non. La cuisson du riz à la vapeur est un peu moins pratique, car celui-ci doit rester beaucoup plus longtemps pour gonfler correctement.

Dans une moindre mesure, il est possible de précuire le riz (méthode pilaf) dans une poêle à feu doux pendant 10 minutes avant de le terminer à la vapeur.

Le troisième étage est généralement réservé pour les protéines animales :

  • Poulets, crevettes, poissons, crabes, oeufs, etc.

Tous les aliments peuvent être recouverts d’herbes (Provences, etc.), d’épices, voire même de certaines sauces. Attention cependant aux sauces, car elles se perdent très largement dans le jus de cuisson dans le fond du cuiseur.

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37 commentaires
    1. J’y avais pensé, mais tu veux dire le prix de quoi ? Par rapport à quoi ? Certains cuiseur vapeur peuvent coûter très cher, mais il me semble que d’un point de vue économie, on est gagnant avec le cuiseur.
      Comme j’ai pas fait de calcul chiffré, je l’ai pas mis dans l’article, mais je suis de ton avis !

  1. Cuisson vapeur avec un panier en bambou, pour les petits budgets, 8€ en moyenne pour le plus gros modèle (un conseil: allez en magasin avec votre casserole parce qu’après deux échecs, au niveau de l’estimation de la taille, je me suis résolue à trimballer mes casseroles jusque chez le marchand!) et du coup on peut aussi l’emmener en camping sans regret!

    Sinon félicitation Djé, encore un article très complet!

    1. Merci de ton commentaire Selva et de ton conseil !
      J’avoue que certaines casseroles ont des tailles très variables, c’est un très bon conseil !

  2. Ha sympa, article qui tombe pile poil !
    Il se trouve que j’ai exactement le même outil de cuisson à vapeur et je suis actuellement en train de le tester :)

    J’ai du essuyer un cuisant (pas plus que 100°C non plus) echec pour faire cuire du riz lol
    Sinon les carottes, oignons et autres légumes sont un régal à la vapeur !

    Les viandes par contre je dois avouer que je ne suis pas fan…Je ne sais pas s’il peut y avoir une précuisson vapeur puis grillade ?

    J’aurai bien aimé aussi avoir quelques chiffres quand au gain de nutriment via cette méthode vs le feu, si possible.

    Mata ne !

    1. Oh ! ah merde, échec pour le riz alors ? J’avais essayé une fois (mais pas très bien) et il n’était pas complètement cuit.
      Tu l’avais mis dans le premier étage ? Tu avais fait une pré-cuisson à la poêle avant ou quoi ? (genre méthode pilaf)
      J’avoue que le riz c’est pas évident. Le mieux pour ça, c’est les cuiseurs à riz (l’idéal) avec une cage supérieur (en plastique ou bambou comme le dt Selva) où tu peux rajouter ce que tu veux !
      Mais en fait tu connais déjà ! On le faisait à Paris ensemble ! J’avais oublié ! (Klo gauche!)

      1. Ha ben écoute, oui je l’ai mis dans le premier étage, pas de prés cuisson ni de Pilaf.

        Par contre la veille ma mère l’a fait et ça a marché, riz très bon !
        Donc je ne comprend pas, je pense que peut être si je met moins d’eau ? Ou peut être cela viendrai du fait que j’utilisai un second étage pour légume / viande, ce qui dimunuerait la garde de vapeur dans le 1er étage et donc ralentirai la cuisson.

        A voir, sinon peut être utiliser un couvercle interne, ou Pré-cuisson oblige.

  3. Salut!

    C’est très bien que tu incite à utiliser ce mode de cuisson. Je pense c’est indispensable pour la mise en place d’un mode de vie sain. Cela permet aussi d’éviter les graisses cuites. En ajoutant par exemple un filet d’huile après la cuisson.

    Me concernant, j’utilise une casserole pour la cuisson vapeur, mais je ne peux pas me passer de la poêle (notamment pour faire des galettes de pain et dorer certains aliments)

    @Selva Je vois de quoi tu parle, ça se vend dans les magasins asiatiques. Perso les miennes ont “cramé” sur les côtés” :)

    1. Si tu utilises le gaz, tu l’as peut être réglé trop fort… Moi j’ai des plaques électriques donc pas de soucis de ce coté là (bon à part un couvercle que j’avais oublié sur une plaque encore chaude dans un moment de distraction, mais ça résiste bien mine de rien!)

  4. Article très interréssant Jérémy, je viens seulement de le lire ce jour; effectivement j’utilise
    ce mode de cuisson moi aussi et dans le style casserole efficace jolie très solide il y a la marque Cristel cependant assez chère mais longue vie assurée.

  5. Quelques remarques sur la science des effets de la température sur les aliments:

    – Les enzymes sont des protéines dont la “structure tridimensionelle” est généralement détruite bien en dessous de 100 °C , autour de 50 °C par exemple, on dit que la protéine est “dénaturée” c’est à dire qu’elle perd ses propriétés d’enzyme en effet.
    Mais ceci n’a a priori aucune importance sur le plan de la “qualité” de l’aliment contrairement à ce que l’on entend souvent car ces enzymes ne sont pas celles qui “digèrent” l’aliment et sont elles-mêmes de toute façon dénaturées et “digérées” comme d’autres protéines dans un système digestif en bon état. Bref ce n’est pas les “enzymes” qui font l’intérêt des aliments crus ou “cuits à basses températures”.

    – Les pertes de nutriments tout comme la formation de composés nouveaux potentiellement toxiques comme les AGEs sont eux directement liés entre eux, par exemple une vitamine “détruite” n’est pas physiquement détruite mais transformée en un composé nouveau bien sûr. Ces phénomènes, par nature donc concomitants, sont déjà observées à 100 °C et même à température ambiante d’ailleurs si l’on attend assez longtemps, par exemple quelques jours. Plus la température est élevée plus ces effets sont marqués et ce phénomène n’est pas simplement linéaire mais croît de façon très rapide avec la température ( en gros exponentiellement).

    C’est ce dernier point qui donne a priori leur valeur exceptionnelle aux aliments crus ou peu cuits. Peu cuit c’est d’abord cuit à la plus basse température possible et ensuite le moins longtemps possible car c’est ce qui donne a priori le moins de composés nouveaux potentiellement toxiques et préserve le mieux possible les nutriments.

    Pris tel quel, isolément, ceci nous amènerait d’ailleurs logiquement à conclure que l’optimum est de ne pas cuire du tout et de devenir simplement crudivore à 100 % puisque c’est ce qui minimise la perte de nutriments ainsi que la formation de molécules nouvelles potentiellement toxiques. C’est ce que font d’ailleurs par force tous les animaux sauvages et c’est aussi possible pour l’homme comme le démontrent certains crudivores.

    Mais pour un régime autre que celui des inuits traditionnels comprenant une quantité substantielle de produits d’origine végétale les choses ne sont pas si simples car les végétaux crus contiennent eux-mêmes systématiquement des molécules potentiellement toxiques qui sont assez souvent diminuées par la cuisson ou d’autres préparations d’une part et certains nutriments sont rendus beaucoup plus biodisponibles par la cuisson d’autre part. Un exemple est le glucose de l’amidon des tubercules comme le manioc ou la pomme de terre. Et comme l’homme a des besoins en certains nutriments bien supérieurs à ceux des autres espèces et que la cuisson rend aussi les choses souvent plus faciles à manger l’optimum pourrait bien être de cuire une partie de nos aliments.

    En attendant que la science se penche plus sur ces questions et tranche éventuellement il est en tout cas sage de rappeler comme votre article le fait bien que “cuire” ça n’est pas anodin du tout et qu’il y a certainement des manières de faire meilleures que d’autres.

    1. une alternative à la vapeur ou au “cru”: c’est la cuisson à basse température ( voir la page facebook de “bio-logic” à ce sujet)
      . C’est bien agréable de manger chaud, en cette saison, et de savoir que les nutriments, vitamines…sont préservés ,qq soit la source de chaleur avec en plus une dimensionté écolo (entièrement recyclable, ,garanti à vie, et économe en énergie ).
      je ne suis pas emballée par la cuisson infrarouge de l’omnicuiseur

      Chris

  6. J’ai oublié de commenter ce que vous dites au tout début de l’article à propos des protéines animales. Aucune science ne démontre que les produits animaux seraient généralement plus digestibles ou assimilables cuits. C’est exactement l’inverse qui est observé sauf pour certaines choses comme la gélatine des os ou certains autres composants de tissus animaux difficiles à manger crus en quantité substantielle. Par exemple le jaune d’oeuf, le jambon ou le beurre crus sont toujours diététiquement préférables aux cuits.

    C’est Wrangham, un anthropologue américain qui prétend de telles âneries mais il parle de ce qu’il ne connait pas, est très controversé sur ces points chez ses pairs et n’a certainement jamais sérieusement essayé lui-même de manger de la viande ou du poisson cru pour voir ce qu’il en est vraiment.

  7. @ Sceptique:

    Tu fais une précision très importante sur le plan nutritionnel. Effectivement, la protéine en qualité d’enzyme-substrat ne fonctionne plus une fois chauffé et dénaturé, cependant elle aura toujours sa fonction nutritive pour l’organisme.

    Pour tout te dire, je comprend à 100% ton discours. Il est évident et compréhensible pour moi. Quelle que soit la cuisson, les aliments seront dégradés, et des composés nouveaux plus ou moins toxiques seront alors formés.

    Je suis pour le “crudivorisme”, du moins partiellement. Personnellement, mes repas de midi sont bien souvent très garnies de crudité. Et j’ai d’ailleurs prévu un article:

    > “10 minutes pour convaincre de manger vos légumes crus”

    Maintenant, il y a les bienfaits de la cuisson. Comme tu le dis, certaines viandes (comme le porc), végétaux deviennent plus comestible, si ce n’est pas complètement comestible grâce à la cuisson.

    Dans cette situation, nous avons des avantages et des inconvénients, comme toujours.

    Alors moi, je me met à la place du consommateur lambda et j’essaie de fournir les conseils les plus réalistes, en terme de productivité et de durée.

    Par exemple, conseiller de manger cru à 100% du temps n’est pas viable car cela n’est absolument dans la tradition française, sauf certains plats évidemment.

    Par contre, orienté les personnes vers des modes de cuisson plus sain (Cf, la cuisson vapeur ou à l’eau) ainsi que vers des modes de consommation plus naturel comme le “crudivorisme” est pour moi la solution la plus efficace pour faire changer les comportements.

    Moi, je ne suis plus à convaincre, mais les lecteurs, oui.

    Tu as raison de dire:

    “l’optimum pour­rait bien être de cuire une par­tie de nos aliments.”

    Je rejoins ce point évidemment.

    Pour ton dernier commentaire, effectivement, la cuisson ne rend pas les protéines plus “assimilables”. En fait, cette phrase est une déformation du fait que le feu à permis de consommer plus de viandes, dont certaines dangereuses lorsque non cuites (comme le porc), de changer le goût. Voilà le bien vilain raccourci que j’ai fait en introduction, je la change dès que possible pour être le plus correct possible.

    Merci de ton commentaire sceptique !

  8. Je te remercie à mon tour pour tes articles vraiment remarquables, Jérémy.

    C’est très difficile pour nous, humains, de garder la tête froide et de ne pas s’enliser dans des positions ou comportements irrationnels en matière de nutrition ou de santé où tant de choses restent à découvrir et éclaicir et qui est un sujet complexe par excellence.

    Tes publications sont extraordinaires et rares à cet égard car elles me semblent bien relever de ce que je qualifierais de ‘bonne science”.

  9. Bonjour, merci pour cet article fort intéressant. J’ai cuisiné de cette manière durant longtemps et au bon d’un moment je suis revenue par monotonie à une cuisine plus traditionnelle. Mais à la lecture de votre article, l’envie de m’y remettre me reprend. Pour le riz je préfère le cuire à l’eau qu’à la vapeur. Mais la viande, je la trouve très goûteuse cuite à la vapeur surtout la viande blanche et de même pour le poisson. Bon alors ce midi, légumes vapeurs et riz avec une bonne petite sauce maison. A bientôt sur votre blog !

    1. Je suis très heureux que tu sois retourner vers une cuisson à la vapeur qui est beaucoup plus saine qu’avec les poêles ! Après il faut varier les recettes, jouer avec les sauces et les accompagnements pour briser la routine ! A bientôt sur le blog, bise.

  10. Bonjour,

    je découvre votre blog, c’est super de recenser toutes ces infos, merci :)
    par contre, je cherche un moyen de faire cuire mes aliments vapeur, mais sans être en contact avec du plastique, car récemment prouvé (cf documentaire sur arte “nos poisons quotidiens”) qu’en contact avec la chaleur, le ^plastique libère des particules toxiques..donc prudence..
    Bonne journée,
    Laurence

  11. Bonjour,

    Pour ma part il m’arrive de cuire au four à chaleur tournante c’est comme à la vapeur et cela va plus vite .Si cela peu donner des idées ! Quand pense-tu Jérémy ? c’est comme à la (vapeur des aliments) ? ET puis il m’arrive de cuire des viandes et tous les légumes dans une cocotte en fonte (comme les anciens) à feu très très doux du matin jusqu’à midi et c’est un régal ! La sauce ce fait toute seule .

  12. Je viens de l’acheter un “omnicuiseur” (d’occasion, mais comme neuf”) qui cuit par infrarouge à moins de 100°. Je ne l’ai pas encore essayé parce que je suis en plein jeûne hydrique. Mais dès que j’aurais repris une alimentation “normale” je vais le faire. J’ai vu ça au salon Zen.
    Pour en savoir plus, tapez omnicuiseur dans votre moteur de recherche/
    Belle journée

    Dan

  13. Bonjour Jéremy,

    Très bon article !

    Pour la cuisson du riz au cuit-vapeur : après avoir rincé le riz je le mets dans un récipient que je pose dans le panier du cuit-vapeur, je le recouvre d’eau bouillante un doigt au-dessus du riz, un peu de sel et en 20mn il est cuit, j’utilise du riz basmati semi-complet.
    Ce qui permet d’ajouter des filets de poisson dans un autre panier, 10 mn plus tard , le tout est prêt en même temps !

    Les légumes je préfère nettement les cuire à l’étouffée avec un peu d’huile d’olive ou de beurre et à tout petit feu,( je trouve que le cuit-vapeur les “lave” un peu trop) ils sont délicieux !

    Bonne continuation pour votre blog que j’apprécie.
    Jane

  14. Honnêtement je ne connais pas de meilleurs procédés que la cuisson vapeur des légumes. J’avais une hésitation pour la viande, j’avais peur que cela ressemble trop à de la viande de poulet bouillie par exemple. Mais tu viens de me convaincre d’essayer sur la viande aussi.

    Merci pour ton site toujours aussi pertinent!

    Ethan

  15. oui, mais attention au contenant: seul le verre, l’inox 18/10 et la fonte non émaillée sont des matériaux sains . Une alternative à la vapeur: la cuisson à basse température ( voir bio-logic” sur facebook)

  16. Passing, le vitaliseur de Marion est parfait. Je viens de le recevoir et j’ai commencé à cuire avec.

    Je ne connaissais absolument pas ce mode de cuisson et, surtout, ses bienfaits.

    Pour qui veut prendre soin de son corps, c’est le mode de cuisson idéale.

    En attendant de le recevoir, j’avais cuit à la vapeur dans mon couscoussier et c’était déjà très bon.

    Mais, avec le vitaliseur, c’est encore meilleur. Il sublime le goût des aliments et ce n’est pas un leurre. J’apprends petit à petit à m’en servir au quotidien et suis donc en période “d’apprentissage”.

    Par contre, il ne faut absolument pas récupérer l’eau de cuisson du vitaliseur car, si vous le faites, vous mangez les pesticides qui se retrouvent dans cette eau mais dont le vitaliseur a débarrassé vos légumes.

    Au moment où je tape ce message, j’ai mis à cuire des saucisses de Toulouse avec des courgettes du jardin, des échalotes et des lardons et çà sent divinement bon. Je sens que nous allons nous régaler.

    Alors, n’hésitez pas, vous ferez du bien à votre organisme.

  17. Bonjour,
    2 ans déjà de cuisson vapeur. Il n’y a pas photo ! Net regain d’énergie et bien meilleure santé (j’étais parti de bien bas), mais, point négatif, suivre les préceptes de nutrition ne fait pas grossir mais plutôt perdre (sainement) du poids.
    D’un point de vue pratique, après analyse des cuit-vapeur, j’ai écarté évidemment le plastique électrique, le bois, l’inox (attache & rayures), l’émail, pour acheter le modèle Pyroflam (cocotte en vitrocéramique et couvercle en Pyrex bombé pour éviter le délavement des aliments). Parfait, 42 euros chez Videlice sur internet (c’est là le moins cher).
    Attention, cuisson douce 3 4 5 maxi sinon ça attache, et baisser dès que possible, grand volant thermique.
    Pour l’entretien, si le fond fonce avec l’eau qui reste à jeter vrai poison, une lavette avec du bicarbonate de soude de temps en temps.
    Résiste à l’eau froide (différence temp 400° pour la cocotte, 200° pour le couvercle), garantie de 10 ou 30 ans !
    Gros avantage, les aliments “suent” et libèrent toutes les sal… Surtout ne pas récupérer l’eau, sauf pour faire crever les mauvaises herbes…
    J’ai vérifié, il est “réglé” à 98°
    Amicalement, si cela peut vous aider

      1. Je me permets de répondre à cette question. On ne doit pas consommer l’eau de cuisson car tous les pesticides contenus dans les légumes tombent dans l’eau.

        Evidemment, si vous mangez des légumes bio, je pense que vous le pouvez. Encore que, concernant le bio, les avis sont mitigés car la certification bio n’est pas fiable à 100 %.

        Personnellement, j’utilise le vitaliseur de Marion et, par sécurité, je ne consomme pas cette eau. Marion, d’ailleurs, recommande de ne pas la consommer.

  18. Suite…
    Je n’ai qu’un panier. D’abord les carottes en rondelles, puis les pommes de terre en dés, navet, céleri, cougettes, salade ou fanes de radis, tomates en dernier à cause du jus et dessus porc en morceau. Dans cet ordre qui tient compte de la “dureté” des aliments, tout cuit en même temps vite, cocotte remplie à un petit 2/3, plaque 5 maxi.
    Je ne récupère pas l’eau ! Du robinet pour la cuisson vapeur, de source pour le riz ou les pâtes dans la cocotte.
    En principe, je n’ai rien oublié
    Bon appétit

  19. Bonjour, article intéressant, comme la plupart de ce blog d’ailleurs. Merci.
    Quelqu’un a des modèles de cuiseur vapeur “sains” et des conseils sur où se les procurer? J’en ai un en plastique… et j’adore ce procédé de cuisson vapeur, mais plus j’y pense et plus je me dis que la chaleur et le plastique doive être un peu néfaste pour la santé non? bref, simplement pour mon prochain achat, si vous avez des conseils…? De plus sains, écolo et économique… je prends! merci beaucoup :)

  20. C’est évident que la cuisson de légumes ou viandes “empoisonnés” aux engrais chimiques et aux pesticides interdit la récupération de l’eau de cuisson. Ca ne permet pas non plus l’élimination de la totalité de ces produits “toxiques”, faut pas rêver ! et l’eau du robinet suffit.
    Quand aux produits végétaux “bio”, rien n’empêche (à mon avis) d’utiliser l’eau de cuisson, avec une eau de qualité (filtrée par exemple).
    Pour les viandes et poissons, j’éviterai.

    Pour le riz (même complet) et pour d’autres ragoût, on peut utiliser avec succès la marmite norvégienne :
    on mesure la quantité de liquide nécessaire ( 1 volume de riz et 2 volumes d’eau).
    on porte le récipient à ébullition et on met le récipient bien fermé dans une caisse ou un carton remplis de vieux vêtements (pas synthétiques) ou bien isolés.
    La cuisson se fait toute seule et à point ! j’utilise pour ça ma vielle cocote minute qui ferme bien.
    Toutes les graines peuvent être trempées quelques heures (ou une nuit) et cuise ensuite très vite !
    Pour cela, laver les graines, riz ou autres et les mettre directement dans la quantité d’eau nécessaire. Attention ça cuit parfois très vite.

  21. demain je recois des amis, j’ai de la choucroute cuite que j’avais achete en alsace, j’ai achete des petits jambonneaux puis je le sfaires rechauffer dans mon cuit vapeur ? MERCI D4AVANCE

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