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Nos pensées peuvent profondément influencer la qualité et la structure de l’eau. Les cristaux d’Emoto sont la preuve vivante du pouvoir de nos intentions. Mais les expériences d’Emoto sont fragiles et n’ont jamais été sérieusement menées.

© Aaron Burden | Unsplash

Pour découvrir l’intégralité de l’article, deux options s’offrent à vous :


La puissance des pensées positives

Et si je vous disais que vous pouviez améliorer votre vie, réduire un stress nocif omniprésent, ou encore vous défaire d’habitude toxique et de problème de santé avec la pensée positive ?

Me croirez-vous ? Probablement oui.

Le fait que nos pensées puissent influencer notre vie, nos cellules, notre environnement et même nos boissons est répandu dans le monde entier.

L’imposition des mains ou encore le Reiki propose des soins énergétiques sans contact physique ni même visuel et permettraient de soigner des problèmes physiques ou mentaux, même à des milliers de kilomètres de distance.

Le talent du praticien et les ondes positives permettent d’obtenir des résultats saisissants.

Et on peut décliner cette forme de pensée positive à toutes les sauces.

Dans les consultations avec un naturopathe, il n’est pas hors du commun de ressortir avec une fiole d’eau remplie d’un mélange d’huiles essentielles et de parfum avec une étiquette « je suis belle/beau » ou encore « je suis en parfaite santé ».

L’idée ici est d’influencer directement le contenant, ici l’eau, pour lui conférer des propriétés apaisantes ou thérapeutiques. Que ce soit pour la confiance en soi, le sommeil, des maladies diverses et variées…

capture d’écran Youtube d’une intervention de Masaru Emoto en 2014.

Le principe se fonde sur une vieille théorie extrêmement populaire dans tous les milieux, mais encore plus dans les sphères alternatives et proches de la naturopathie, celle de la mémoire de l’eau et des fameuses expériences des cristaux du japonais Masaru Emoto.

Vous avez déjà forcément entendu parler des cristaux d’Emoto, qui démontre le pouvoir des intentions positives et négatives sur l’architecture de l’eau. On entend aussi souvent parler des fameuses expériences du riz de Masaru Emoto (à découvrir prochainement).

On va décortiquer ensemble les découvertes et travaux de Masaru Emoto, pour tenter de déterminer la portée médicale et scientifique de ses expériences.

La vérité sur l’expérience du riz et du pouvoir des intentions

Les émotions positives sont-elles si fortes et protectrices qu’elles empêchent ru riz de pourrir ? On revient sur la célébrissime expérience du riz enfermé dans des bocaux et soumis au pouvoir des intentions. Alors, miracle ou arnaque ?

Les parfaits cristaux de Masaru Emoto

Ce japonais décédé en 2014 est à l’origine de l’héritage le plus marquant et controversé sur le pouvoir des intentions et des émotions sur l’eau.

Ces travaux sont directement en lien avec l’idée que l’eau aurait une mémoire capable d’infuser nos émotions et nos pensées pour la conserver et s’en retrouver profondément modifié.

Les conséquences sont extrêmement importantes, et pour ainsi dire, assez extraordinaires.

Je me rappelle encore d’un célèbre documentaire qui m’a profondément impacté il y a plus de 10 ans (What the Bleep do We Know – Down the Rabbit Hole) où les travaux de Masaru Emoto y sont présenté.

On pouvait voir l’impact de nos émotions et de nos pensées sur la formation des cristaux de glace enregistrée avec soin par Emoto.

Capture d’écran du site de Masaru Emoto avec les photos des cristaux en lien avec des intentions positives.

Emoto a essayé toutes les possibilités. Les émotions négatives et criminelles, « je te déteste » ou « je vais te tuer », avec bien sûr les émotions positives opposées (« je t’aime », « je t’apprécie », « tu es beau », etc.) sur la forme et l’apparence des cristaux formés.

Dans ce documentaire, j’étais comme de nombreux autres spectateurs choqué par les résultats des expériences de Masaru Emoto.

Tous les cristaux soumis aux émotions négatives avaient des formes chaotiques, sans la moindre harmonie. C’était tout l’inverse pour les cristaux formés avec les émotions positives. Ils étaient magnifiques et harmonieux, démontrant sans l’ombre d’un doute la puissance de nos émotions sur l’eau.

Et comme notre corps est principalement composé d’eau, tout comme notre alimentation, on réalise un peu mieux l’importance de cette découverte.

Mais Masaru Emoto ne s’est pas arrêté en si bon chemin. Il a montré des résultats similaires avec la musique.

Un concerto de Mozart produit des cristaux parfaits et harmonieux tandis qu’un blast de Black Metal détruit l’architecture merveilleuse des cristaux. Le chaos s’installe.

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20 commentaires
  1. “On fait mieux en termes d’indépendance (et cela nous rappelle aussi l’histoire de l’hydroxychloroquine où la majorité des études positives de l’équipe de Didier Raoult ont été publiées… dans le journal de Didier Raoult).” –
    … pas très fouillé comme commentaire à l’emporte pièce!
    dur à avaler!

    1. Bonjour Hélène,

      Merci de votre commentaire. La phrase en question renvoi vers un article que vous avez accès (et vers d’autres par la suite) qui vous présenterons justement les analyses et les références en lien avec ce sujet. Vous y découvrirez que la moitié des études où le nom de Didier Raoult figure ont été publiées dans un journal qu’il a lui-même crée. Ce n’est jamais vraiment bon signe quand on doit publier dans ses propres journaux. C’est un signal inquiétant d’un manque de reconnaissance de la communauté scientifique et d’un isolement dans le paysage de la recherche scientifique. La phrase est donc courte, provocatrice je vous l’accorde, mais se fonde sur une analyse minutieuse du milieu académique dans lequel évolue Didier Raoult.

      Je ferme cette parenthèse. Au plaisir de vous lire.

      1. Bonjour Jérémy

        Je suis un peu surprise par votre commentaire ci-dessus, et l’allégation qu’elle se fonde sur une analyse minutieuse du milieu académique dans lequel évolue Didier Raoult.

        Il ne s’agit pas ici de débattre du bien fondé de ses études, mais d’un constat, que finalement l’analyse n’est pas si minutieuse que ça, ou que le biais est trop facile. Parce qu’il publie ses études dans son propre journal, elle ne seraient pas crédibles ? Pourtant, vous qui insistez si souvent sur ce fait, elles sont toutes reproductibles !

        D’autre part, on ne compte plus au cours de l’histoire de l’humanité le nombre de scientifiques raillés par leurs pairs (et par le monde), et qui pourtant avaient raison.
        Quand on est évincé par ses pairs, que les raisons sont bonnes ou mauvaises, où doit-on publier pour trouver crédit à vos yeux ? Isolé de la communauté scientifique signifie-t-il automatiquement “à côté de la plaque” ?

        Je ne suis ni pour ni contre Didier Raoult mais je m’offusque toujours contre l’injustice. Est-ce lui qui est pourri, ou le milieu académique ?

      2. Bonjour Angélique,

        Concernant Didier Raoult, j’insiste car c’est bien le cas.

        La question qu’il faut se poser doit être faite sous un autre angle.

        Quand vous êtes réduit à devoir créer votre propre journal pour publier vos travaux, car les autres ne les acceptent plus, est-ce un signe que le monde entier va mal, ou plutôt… vous ? Autrement dit, vous préférez privilégier le fait que le monde académique dans son ensemble serait pourri, ce qui est une très forte et grave accusation (et pour en avoir fait parti, je trouve que ce milieu doit profondément être réformé) ou bien alors un institut dont un homme à la tête dévie d’une ligne de conduite scientifique rigoureuse ?

        Je penche pour la seconde option, car de nombreux éléments plaident en ce sens. Un chercheur qui souhaite être reconnu, et qui l’est, ne publie pas ses travaux dans ses journaux. C’est un conflit d’intérêt manifeste surtout quand il existe des revues autrement plus prestigieuses qui permettent de faire reconnaître son travail. C’est ainsi qui fonctionne le milieu académique. C’est pour cette raison d’ailleurs que l’IHUm s’est vu retirer deux distinctions ou labels d’excellentes, à cause de la médiocrité des travaux scientifiques, pour la majorité publié dans leur propres journaux. Je n’invente malheureusement rien.

        Nous avons bien sûr de nombreux exemples de scientifiques qui étaient raillés par leur pairs alors qu’ils avaient “raisons”. Mais cela remonte à d’autre époque, où nos connaissances et nos méthodes étaient autrement différentes. Ce n’est pas comparable avec cette situation que nous vivons actuellement. Par exemple, de nombreux scientifiques et médecins sont passé pour des fous à dire qu’il fallait se laver les mains entre les opérations pour éviter de transmettre des “germes” et éviter des morts. Ils n’ont pas été pris au sérieux. Pourquoi ? Car nos connaissances en microbiologie et connaissance de l’infiniment petit étaient balbutiantes. Aujourd’hui, personne ne pourrait remettre cela en cause du fait des connaissances établis. Et j’espère que vous ne pensez pas à l’héliocentrisme comme autres exemples…

        Au plaisir de vous lire,

      3. Jérémy : « Quand vous êtes réduit à devoir créer votre propre journal pour publier vos travaux, car les autres ne les acceptent plus, est-ce un signe que le monde entier va mal, ou plutôt… vous ? »

        Cette interprétation me paraît tendancieuse. Les labos CNRS dans lesquels j’ai travaillé avaient (il y a 30 ans) leurs “notes internes” utilisées comme “monnaie d’échange” avec les autres labos, pour couvrir les prix de photocopies et frais d’envoi. Puis cette pratique a évalué vers la création de journaux sans comité de lecture, plus tard avec des comités de lecture, et pour finir une diffusion plus large en numérique. Mon dernier labo d’appartenance publie depuis très longtemps les “TIPA” qui étaient au départ les “Travaux de l’Institut de Phonétique d’Aix” et sont devenus les “Travaux Interdisciplinaires sur la PArole” dont tout le monde connaît les acteurs, dans lesquels paraissent de nombreux articles de “travaux en cours” rédigés par des thésards ou des membres du labo qui explorent des voies nouvelles… Ce qu’on appelle aujourd’hui des “pre-prints”.

        Donc la création d’un journal géré par un grand institut comme l’IHU me paraît tout à fait légitime. Ce que je trouve par contre inacceptable (mais largement pratiqué dans le monde médical) est qu’un “mandarin” cosigne des centaines d’articles rédigés par ses subordonnés, contribuant ainsi à une falsification de la signification de son h-index…

      4. Oui Bernard, qu’un IHU ait son propre journal n’est absolument pas choquant. Toutes les plus grandes associations médicales ont d’ailleurs leurs propres journaux scientifique. Mais quand l’évaluation et l’acceptation des papiers en question se fait à travers un conseil scientifique acquis (comprendre où la moitié sont vos subordonnés) et que l’on observe des gros problèmes méthodologiques et éthiques, cela pose problème. L’autre problème que tu soulignes est aussi important oui.

      5. Bonjour Jérémy

        Le débat sur le Pr. Raoult peut durer des heures, tant vous trouverez des arguments contre lui et des arguments pour lui. Comme le dit si bien Bernard, il y a des pratiques dans le monde académique que beaucoup utilisent (voire tous ?) mais qui sont actuellement critiquées en ce qui concerne l’IHU et plus précisément le Pr. Raoult.

        En ces temps troublés et remuants, bien d’autres scientifiques sont cloués au pilori pour ne pas suivre la pensée, non pas dominante, mais gouvernementale ou plutôt celle du pouvoir dominant. C’est cela que j’appelle l’injustice.

        Pour vous qui êtes si pointilleux sur la vérité et pour nous qui vous lisons pour cette raison, de grâce ne tomber pas dans les travers insupportables d’autres médiateurs. Avouez que cette simple phrase sur ce professeur, glissée dans un article sur Masaru Emoto, donc sans aucun rapport, dévie de votre ligne rigoureuse habituelle. Nous avons besoin de vous (et de gens comme vous) pour nous dire la vérité.

        J’aurai pour ma part, grand plaisir à lire un article qui compare les méthodes des dissidents et celles des conformistes sur ces sujets actuels. Contrairement à l’héliocentrisme de Copernic, auquel était opposé le géocentrisme, dans le cas du professeur Raoult, ce ne sont pas ses théories et leurs résultats qui sont critiquées par le monde académique (et d’autres), mais les méthodes. Ne serait-il pas plus sain de s’occuper des résultats (reproductibles bien sûr) plutôt que des moyens ? Est-ce que être assis sous un pommier ou dans sans bain est une méthode scientifique concluante pour parler de la théorie de la gravité ou du principe fondamental de l’hydrostatique ?

        C’est la même chose pour Masaru Emoto. Sauf que dans son cas, les tentatives de reproduction de ses théories se sont soldées, en dehors de l’effet “hasard”, par un échec. Mais, a-t-il tort pour autant ? Il a fallu pratiquement 200 ans pour prouver l’existence des trous noirs dans l’univers, peut-être que dans 200 ans, nous aurons des instruments qui pourront mesurer et prouver scientifiquement les théories d’Emoto ;-)

      6. Bonjour Angélique,

        Des heures ? Vous voulez dires des jours et des jours ! :)

        C’est un sujet intarissable. Je ne pense que c’est parce que d’autres font ce qu’il fait que cela ne doit pas être dit. Bien au contraire, on doit dénoncer les pratiques des mandarins et ces abus dans la publication scientifique. Ce n’est bien sûr pas un cas isolé, mais Didier Raoult a érigé cela en véritable système et personne en France n’est à son niveau de détournement de point SIGAPS pour ses publications, qui viennent directement de nos impôts. Je vous laisse vous renseigner sur ce sujet qui est extrêmement intéressant et déroutant.

        Comme les sujets sont variés sur mon blog, j’essaie tant que possible de faire des ponts entre mes articles, quand c’est possible. Cela permet à des lecteurs de découvrir des sujets transversaux et d’autres thématiques su blog. C’est exactement le cas pour ce sujet, où la thématique de la recherche scientifique et des biais dans les publications avec Emoto est identique avec Raoult. C’est le même principe, et d’en parler me permet de faire un lien un autre sujet. Le rapport est léger, mais dans le contexte bien précis du paragraphe, il est patent. Cette phrase ne dévie donc pas de ma ligne habituelle de rigueur, comme vous dites, et je vous en remercie. Il manquait peut-être des explications pour en détailler les motivations :)

        C’est désormais choses faites.

        Pour le reste, c’est moi qui trouve les comparaisons étranges. Car pour l’héliocentrisme, cela n’a pas vraiment à voir avec un débat scientifique. Pour rappel, l’héliocentrisme était nié par la religion car cela remettait en cause le pouvoir de la religion et de son emprise intellectuelle en imposant le géocentrisme. La comparaison est donc très limitée. C’est un peu la même chose pour les trous noirs. Nos capacités d’observations et l’évolution de la technologie nous permettent aujourd’hui de mieux les comprendre et d’attester leur présence. Et encore, je n’oserais m’avancer sur ce sujet que je ne maîtrise pas du tout. Je vois juste que cela dépasse de loin le sujet de la recherche scientiifque.

        Pour Emoto, jusqu’à preuve du contraire, ces théories sont fausses et ne bénéficient d’aucune caution scientifique. Peut-être que dans 200 ans, on dira l’inverse, mais ce sera dans 200 ans, et ni vous moi ne pouvont lire l’avenir. Ce qui compte, c’est ce qu’il se passe aujourd’hui, et avec les méthodes d’évaluation scientifique que nous avons, il est en effet difficile de séparer l’effet du hasard sur les observations de Masaru Emoto.

        Pour rappel, et c’est assez amusant, mais cela fait précisément 200 ans que l’homéopathie a été inventée, et cela fait précisément 200 ans que nous attendons toujours les preuves sérieuses et solides de son efficacité :)

        Merci de votre commentaire :)

      7. AAAh merci Jérémy, cela fait très plaisir de lire et entendre une personne sensé !!!!
        Concernant notre Didier et la science vous avez raison et je suis tout à fait d’accord avec vous.
        J’étais tellement entourée des personne qui ont vu en lui le sauveur , le mal aimé de la science, un grand homme….et je dois dire souvent c’étaient les personnes avec une inclinaison vers “conspiration contre les peuples “….merci encore une fois !!

  2. Ce qui m’épate avec les cristaux d’Emoto, c’est qu’ils “obéissent” aux mots écrits sur l’étiquette. Par exemple, si on écrit “Gift” le cristal sera harmonieux puisque “gift” en anglais signifie “cadeau”. Sauf qu’en allemand ça veut dire “poison”. Mais peut-être que le résultat sera correct pour de l’eau collectée en Allemagne ? ;-)

  3. Monsieur,

    En tant qu’enquêtrice, j’ai appris de mes pairs comment mener une enquête lorsqu’une personne est accusée (crime ou délit). Avant d’informer un juge, nous devions toujours vérifier à la source les informations en toute neutralité. J’ai enquêté sur les travaux de ce japonais ; je suis allée au Japon et j’ai vérifié ces informations ! De plus, j’ai moi-même fait des expériences qui m’ont amenées aux mêmes conclusions que lui ! Et vous ? Avez-vous vérifié vos renseignements ? D’où viennent-ils ? Avez-vous pratiqué ? Et qu’est-ce qui prouve que vos écrits sont justes ou pas ? Ni vous, ni moi ne sommes juge. Par contre, ma vie a changé depuis le temps que j’enquête et pratique en toute impartialité les expériences scientifiques. Tout est dans le pouvoir de l’intention corporelle ; la définition que chacun a de ce qu’il formule est mentale mais pas toujours corporelle. Donc, vérifier la signification d’un mot dans un dictionnaire (trouver la bonne définition pour ne pas être dans l’erreur avec un synonyme, antonyme) et l’employer avec sa propre intention en psycho corporel peut influer sur l’objectif à atteindre. Je ne vous demande pas de me croire mais de faire vos propres expériences. Parler ne mène à rien, Méditer est plus judicieux. Montrer et démontrer est beaucoup plus intéressant pour avancer et évoluer. Nous avons tous notre propre vérité. vous raisonnez trop mentalement. Ce qui marche est de laisser vibrer les intentions qui résonnent autrement dans le corps. L’information connectée remonte et le constat est impressionnant. votre corps est 4 fois plus puissant que votre tête. Il suffit de s’observer dans un miroir pour le constater. Ce qui m’épate le plus c’est que d’autres enquêteurs, de plus en plus de personnes sensées se sont investis et sont arrivées aux mêmes conclusions que d’autres chercheurs et ce japonais n’est pas le seul à prouver ce phénomène ! D’autres physiciens apportent des preuves de ce qu’ils avancent. Alors comment expliquez-vous ce phénomène grandissant que sont les problèmes que nous vivons sur notre planète ? Je n’attends pas votre réponse. Elle vous appartient. J’ai la mienne, cela me suffit amplement. Bonne continuation.

    1. Bonjour,

      Merci de commentaire.

      En tant qu’enquêtrice, vous devriez donc nous apporter vos éléments factuels qui prouvent que ce japonais dis la vérité. En l’absence de tel élément, vous pouvez donc raconter n’importe quoi. J’ai de mon côté quelques témoignages de personnes ayant entendu Emoto dire lui-même avoir sélectionné les clichés qui soutiennent sa théorie.

      En fait, Emoto est le seul à avoir montré ce qu’il montre. Vous dire que d’autres chercheurs sont arrivés à ses conclusions… peut-être mais jamais personne n’a réussi à prouver officiellement dans les standards de la recherche scientifique ce qu’il décrit, avec le pouvoir des intentions et la mémoire de l’eau. Il y a pourtant des sommes d’argent en jeu, des millions de dollars (ou peut-être que la somme n’est plus accessible) qui pouvait être réclamé par celui qui en apporte la preuve formelle. Cela n’a jamais été fait.

      Et de mon côté, je parle en connaissance de cause, car oui, j’ai testé la plus rigolote des expériences du pouvoir des intentions d’Emoto avec le riz et les intentions négatives ou positives. Il s’est ainsi avéré qu’avec un contexte expérimentale solide, les intentions n’ont aucun effet sur la matière.

      Donc en effet, je ne risque pas de vous croire sur parole. Je ne le fait jamais et encore moins quand on remarque que vous baignez et défendez cette pratique. L’enquête est donc biaisée. Je doute que vous ayez fait votre enquête pour démontrer qu’il avait tord, mais plutôt pour démontrer l’inverse. D’ailleurs, la fin de votre commentaire démontre que vous n’avez aucune envie d’évaluer objectivement cette pratique et remettre en cause votre croyance. Car c’est une croyance. Vous avez “votre réponse”, elle vous suffit, comme les religieux qui trouvent une pleine satisfaction dans les écrits religieux qui n’ont pourtant ni queue ni tête pour expliquer des phénomènes biologiques et évolutifs bien décrit.

      Car on peut être une excellente investigatrice mais n’avoir aucune connaissance dans l’évaluation scientifique… car ce sont deux choses complètement différentes.

      Je vous invite à lire mon expérience sur le riz en lien avec ce célèbre japonais. J’en arrive donc à me poser des questions sur vos qualités d’enquêtrice car la mémoire de l’eau n’a jamais été validé par des équipes indépendantes depuis les prémices de son existence.

      Après si cela vous faits du bien, alors ne changez rien, car c’est ça le plus important :)

      Au plaisir de vous lire.

  4. Excellente réponse, Jérémy !
    Faire la distinction entre croyance, conviction, conjecture et théorie… Une croyance devient une conjecture une fois qu’on a quelques expériences qui paraissent la confirmer, et elle devient une théorie une fois qu’on a proposé des expériences qui pourraient la prouver fausse (“falsifier”) et qu’aucune de ces expériences n’a réussi. Avec Emoto et ses disciples on n’est même pas encore parvenu au stade de la conjecture. Mais il est vrai que c’est une croyance séduisante pour les new-age qui “laissent vibrer les intentions qui résonnent autrement dans le corps” ! ;-)

  5. Bonjour Jérémy

    Merci d’avoir aborder ce sujet.
    Qui effectivement pourrait être extrêmement important.
    Je souhaiterais savoir
    Puisse que le Sujet m’intéresse…sincèrement ;)
    Dans quel états d’Esprit avez-vous réalisé vos expériences ?
    Vos sentiments étaient-ils sincères ou mimés ?
    Est-ce que le fait d’aborder vos expériences dans un contexte expérimental solide, ne pourrait il pas interférer vos sentiments ?
    Puisque tout repose sur l’énergie d’un sentiments sincère, ne serait-il pas la cause de ne pouvoir prouver officiellement dans les standards de la recherche scientifique ?

    1. Bonjour Claude,

      Si ce sujet vous intéresse vraiment et sincèrement, alors je vous invite sincèrement à vous abonner pour en découvrir la totalité. Car vous n’avez pas pu découvrir la totalité de l’enquête. Pour la question de la sincérité dans l’expérience, c’est une question à laquelle j’ai répondu des dizaines de fois. Mes réponses sont dans l’article dédié à l’expérience (et c’est une remarque qui n’a pas vraiment de sens ni aucune logique) Bonne lecture !

  6. merci Jéremy de publier tout ce débat qui est parfois un peu véhément… c’est bien, c’est que vos écrits ne nous laissent pas indifférents.
    Pour Masaru Emoto, je pense effectivement que ce n’est pas reproductible , mais ses photos sont tellement belles que j’ai été émerveillé par son grand livre de photos et tant pis pour le côté scientifique et tant mieux pour l’aspect esthétique.
    Par contre que l’eau subisse des influences extérieures , électromagnétiques, de températures, de pression, du cycle lunaire (les marées par exemple) etc.., ne fait de doute pour personne. Et comme le corps humain est constitué d’environ 70% d’eau élément et de 98% d’eau en tant que molécules dans toutes les réactions de chimie organique de notre métabolismes , il y a fort à parier que les émotions influent également sur cette quantité d’eau phénoménale qui nous constitue… mais je suis d’accord Massaru Emoto ne le démontre pas de faço scientifique et reproductible.
    Quant à l’homéopathie je n’approuve pas vos doutes…je traite depuis 50ans toutes sortes d’animaux avec de l’homéo (je suis vétérinaire ) et j’ai une très forte proportion de résultats très positifs et (heureusement) parfois très négatif, c’est à dire une aggravation brutale des symptomes.
    Je voulais juste rappeler que l’homéopathie est une thérapeutique EXPERIMENTALE (pour ne pas dire empirique, qui est une insulte dans la bouche d’un allopathe mais un compliment pour moi) et aussi INDIVIDUELLE.
    Si vous faites une grippe on ne vous traitera pas comme votre voisin qui fera la même grippe au même moment, tout simplement parce que vos défenses ne sont pas du tout les mêmes que lui. Il est donc impossible de faire une expérimentation en double aveugle sur cohorte de cas, car aucun des sujets de l’expérimentation n’aura le même traitement. Il n’y a aucune recette en homéo, on ne soigne pas une maladie, on soigne UN malade qui fait une patologie , avec toute sa singularité et son unicité.
    C’est pour ça que l’homéo est si difficile et qu’on ne trouve plus de médecins homéopathes en France…
    Merci pour votre participation à améliorer notre savoir et à piquer à chaque fois notre curiosité.
    amicalemement , ¨Pierre.

  7. Article et interventions très intéressantes pour un personne comme moi, qui n’a aucune connaissance du monde scientifique et de ses rouages.
    J’avoue avoir été séduit par les études du Professeur Masaru Emoto.
    Mais comme le souligne le Docteur Pierre May certaines pratiques ne sont elles pas trop “complexes” pour la science?
    La question que je me pose, Si la science ne sait pas expliquer rationnellement quelque chose, est ce pour autant que cela ne peut exister?
    J’ai lu quelques livres du Docteur Philippe Guillemant, sur les champs quantiques, le multivers voir même les extra-terrestres. Quand on voit le bagage de ce monsieur et les théories qu’il avance, ce n’est pas encore démontrable par la science mais est ce pour cela que tout est faux?
    N’y a t il pas une frilosité et de l’élitisme dans les revues et le monde scientifique?
    Le but de la science n’est il pas de se remettre sans cesse en question?
    Je rejoins le Docteur May, les clichés des cristaux sont magnifiques :-)
    Bien à vous tous

    1. Bonjour Jean-Michel,

      Merci de votre commentaire et de l’intérêt pour ce travail !

      Mais il y a un gros problème avec la théorie de Masaru Emoto (j’y ai moi-même cru plus jeune), c’est bien qu’il pense avoir démontré sa théorie avec des outils aussi simple qu’un microscope ! Donc l’argument “que ce ne serait pas encore démontrable” ne tient pas… car il l’a lui même démontré dans son laboratoire.

      M. Emoto ne dispose pas d’outils que d’autres chercheurs n’ont pas. Et c’est un principe fondateur en science : on doit pouvoir reproduire des résultats pour en mesurer toute l’authenticité.

      Par exemple, on peut reproduire exactement les mêmes effets d’une alimentation trop riches en calorie sur le poids des hommes, que ce soit en Chine, aux USA ou en Europe. Des laboratoires indépendants reproduisent les données et donc les valident.

      Or, aucun laboratoire ni chercheurs au monde n’a été capable de reproduire spécifiquement ce que Emoto a pu observer. Et cela peut se comprendre, car Masaru Emoto lui-même a avoué avoir choisi les clichés qui collent à son récit.

      C’est donc, quelque part, de la fraude scientifique en plus d’être une sorte de fraude intellectuelle car elle a vocation à piéger des gens non formé à l’analyse scientifique.

      Pour terminer, la science et la médecine fonctionnent bien au contraire avec d’importantes interrogations. Nous avons de très nombreux médicaments qui fonctionnent… mais dont on ignore encore comment ou pourquoi. On sait quelques mécanismes, mais on ignore vraiment les actions propres du médicament pour obtenir des effets positifs. Fort heureusement, les médecins n’ont pas besoin de connaître exactement comment ça fonctionne (car des fois on l’ignore) pour reconnaître son efficacité !

      Au lieu de chercher une explication rationnel, on parle plutôt de chercher une démonstration scientifique correcte et reproductible. Car si une équipe prétend avoir démontré quelque chose, cela signifie que d’autres pourraient le faire. Et on doit attendre des reproductions indépendantes pour commencer à y croire. Nous l’avons vu avec le fameux métal supra-conducteur tout d’abord sorti d’un laboratoire avec un emballement international. Puis, de nombreux laboratoires ont essayé avec des échecs ou d’autres explications pour finalement battre en brèche cette idée de supra-conducteur.

      Au plaisir de vous lire

      1. Bonjour Monsieur Anso
        Je vous remercie beaucoup pour votre réponse
        C’est dommage que la recherche sur l’intention par le Docteur Emoto soit biaisée.
        Je comprends mieux maintenant le fonctionnement de la recherche scientifique ;-)
        Sur l’intention, je pense qu’il y a encore pas mal de chose à découvrir.
        Il y a dans le monde tellement de phénomènes qui ne sont pas explicables
        Je vous souhaite une belle journée
        Bien à vous

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