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Condamnées de très nombreuses fois avec des amendes record, les firmes pharmaceutiques sauvent des vies avec une réputation de voyous.

© Waleed (@65WZ)| VisualHunt

Big Pharma = Big Voleur ?

Les laboratoires pharmaceutiques sont aujourd’hui des empires.

Pzifer, Johnson & Johnson, Astra Zeneca, Lilly, ou encore Merck… sont aujourd’hui devenus des noms relativement communs avec la pandémie de Covid-19.

Moderna, Pfizer et Astra Zeneca sont les producteurs des vaccins les plus vendus contre le virus responsable de la covid.

Ils ont engendré des chiffres d’affaires record avec des milliards de doses vendus à travers le monde.

La compagnie allemande BioNTech à l’origine du vaccin à ARN messager en association avec Pfizer a fait grimper le PIB de l’Allemagne de 0,5 %.

Qu’une seule société en soit capable est du jamais du vu dans l’histoire du pays. La compagnie aurait touché au moins 16 milliards d’euros sur la vente des vaccins.

Une manne providentielle vertigineuse… qui interroge.

Car derrière les bénéfices se cachent des batailles scientifiques et médicales pour faire approuver des médicaments et des thérapies.

Des batailles qui se jouent dans les couloirs des gendarmes du médicament, en Europe avec l’European Medicine Agency (EMA) et aux États-Unis avec le Food and Drug Administration (FDA).

Les demandes d’autorisations de mise sur le marché, les fameuses AMM, se jouent ainsi entre des régulateurs en manque d’indépendance et de financement public avec les plus gros bras de l’industrie pharmaceutique.

Des gros bras dont les précédentes affaires et condamnations ne cessent de remonter à la surface dans cette période de crise.

On se retrouve finalement, et assez paradoxalement, avec des voyous au service de notre santé.

Car si les entreprises pharmaceutiques jouent le jeu de la santé publique en rendant des services indéniables, elles ne demeurent pas moins avides de toujours plus de bénéfices en franchissant de nombreuses fois les lignes rouges de la loi.

Au mépris de la vie de nombreuses personnes.

Pfizer est ici un cas d’école, avec beaucoup d’autres.

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4 commentaires
  1. Remarquable article plein de bon sens et de vérité. Même si de temps en temps nos avis divergent, bravo pour ton impartialité.

    1. Bonjour Richard,

      Merci de ton commentaire. J’essaie de ménager la chèvre et le chou… Pas facile, mais aussi de rappeler à mes lecteurs que je garde une lucidité dans mes analyses critiques et n’oublie pas que nous avons affaire à un business qui dérive beaucoup.. avec du bon aussi.

      L’équation est difficile, il y a beaucoup de choses à faire !

  2. Bonjour Jérémy,
    Tu excuses relativement les méthodes de voyous des industries pharmaceutiques par leurs apports de médicaments essentiels à la santé humaine (antibiotique, ivermectine, …). Mais ces apports ont été faits avant les années 1980. Peut-on dire que le Pfizer des années 2020 est aussi éthique que le Pfizer des années 40? Il me semble que Peter Gotzshe situe la charnière du changement de comportement des industries pharmaceutiques dans les années 1980.
    Quant aux vaccins covid aucune étude randomisée en double aveugle n’a prouvé leur efficacité contre les formes graves et les décès. Tu dis que cela a été constaté en observationnel mais tu nous a appris que les études observationnelles n’ont pas une grande valeur pour prouver le lien de causalité. En parlant d’observations, je suis allé sur le site covid de l’Université John Hopkins, sur les 180 pays de leur base, pour les 2/3 la mortalité post-vaccinale n’était pas meilleure voire pire qu’avant la vaccination. Si on va sur le site de Santé Publique France on voit une vague de mortalité covid en début d’année 2022 et particulièrement dans la tranche d’âge 70-79 ans vaccinée à 99%. Donc l’observation ne semble pas favorable à une protection de la vaccination contre les formes graves.

    1. Bonjour Roger,

      Le changement est indéniable. Les dérives, incontestables. L’idée n’est pas d’excuser un laboratoire pharmaceutique en parler. L’idée est plutôt de comprendre que tout n’est pas à jeter avec l’industrie pharmaceutique. Elle remplit un rôle majeur de santé publique, et même après les années 80. Cependant, les gendarmes du médicament n’ont pas assez de pouvoir, et d’indépendance pour limiter encore plus les fraudes et les scandales.

      Je ne dis pas que les études observationnelles n’ont pas de grandes valeurs. Je dis : on fait avec ce qu’on a. Les études observationnelles bien faites ont des qualités indéniables. Les essais cliniques aussi, avec des défauts et cela implique dans tous les cas des analyses critiques de ces preuves.

      Il faut méfier de se genre d’observation faites à la va-vite car si on peut dire que les études observationnelles ont des faiblesses (comme toutes les études) le genre de constat que tu fais n’a rien de factuel ni de précis. Il faut un cadre d’analyses : des méthodes de recueil des données, des corrections, des critiques, une discussion pour en débattre sereinement.

      Parler d’une protection du vaccin contre les formes graves est délicat. Tu parles de quel vaccin ? Tu parles de quelles souches ? Tu parles de quelles tranches d’âge ? Tu parles de quelle population (fragile, malade, comorbidité) ? Tu parles de quel moment (saturation des hôpitaux, pays riche/pays pauvre, etc) ? Si seulement c’était aussi simple que ça !

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