Accéder à des enquêtes de santé exclusives !

Inscrivez-vous gratuitement à la newsletter de plus de 10.000 abonnés et recevez plusieurs enquêtes et guides inédits (sur le sucre, les crèmes solaires, les dangers des poêles...) qui ne sont pas présents sur le blog !

© Harish Shivaraman | Unsplash

L’Union européenne vient d’autoriser une farine de grillon pour des aliments courants. Alors que des milliards d’humains consomment des insectes et de la chitine sans problème, cette décision fait polémique. Enquête.

Des insectes dans nos baguettes

Une récente décision de l’Union européenne sur la consommation d’insectes – et notamment de grillons – a lancé de vifs débats sur l’intérêt d’en consommer… et les risques !

J’en avait fait un article prémonitoire type poisson d’avril en 2014… Visionnaire !

L’axe est clairement orienté.

Nos têtes pensantes souhaitent nous faire ingurgiter sans notre consentement de la farine d’insecte qui pourrait être présente dans le pain, les pizzas, biscuits et de nombreux produits transformés de l’agroalimentaire.

Derrière des avantages nutritionnels et climatiques, il y aurait une volonté cachée d’intoxiquer le plus grand nombre de citoyens avec des composants toxiques comme la chitine de ces petites bêtes.

Cette décision politique soulève de nombreuses questions extrêmement intéressantes.

On va donc voir ensemble l’histoire humaine de la consommation d’insectes avec un clin d’oeil tout particulier sur notre consommation… involontaire !

La chitine cristallise les avis. Ce composant majoritaire des carapaces des insectes et crustacés pourrait déclencher des réactions graves de notre organisme… jusqu’à notre décès !

Qu’en est-il vraiment ? On va découvrir tous les aspects positifs et négatifs de ce composant, le deuxième le plus abondant au monde !

La suite vous intéresse ? 

Alors abonnez-vous pour découvrir cette enquête inédite et soutenir un site d'information 100% indépendant. Des articles et analyses qui changent la vie.

N'oubliez pas, si c'est gratuit, c'est vous le produit ! Dur à Avaler ne bénéficie d'aucune subvention publique ni privée sans le moindre annonceur publicitaire !

Soutenez l'investigation indépendante !

Déjà inscrit ? Remplissez le formulaire ci-dessous.

Téléchargez vos enquêtes exclusives !

Inscrivez-vous gratuitement à la newsletter de plus de 10.000 abonnés et recevez plusieurs enquêtes et guides inédits (sur le sucre, les crèmes solaires, les dangers des poêles...) qui ne sont pas présents sur le blog !

4 commentaires
  1. Bonjour,

    Effectivement, nous devons en manger mais l’argument qui tient à dire qu’on en mange déjà ne me parait pas justifier. Je suppose aussi qu”on mange dans les produits transformés tous genres de produits divers et variés, et pour autant, nous allons pas légiférer pour dire qu’on peut se permettre de tout mettre dans le pain.

    Cordialement
    Michel ATALAY

  2. Merci pour ce panorama des risques potentiels. Il est toujours utile d’être prudent avec ce qui est nouveau, mais les insectes consommés traditionnellement sont-ils vraiment nouveaux ?
    Si on faisait avec les poissons la même analyse, on aboutirait peut-être à un risque plus élevé, et pourtant, en quantité raisonnable, ce sont des aliments nutritionnellement intéressants. En nutrition, une règle d’or est que la diversité cumule les avantages et dilue les inconvénients.
    La chitine est un polysaccharide, donc a priori peu de chance d’être allergène, ce qui est le privilège des protéines. Pas digeste ? Comme la cellulose. Est-ce pour autant on dit que la salade est un problème ? c’est donc une “fibre animale”, ce qui est nouveau pour des Occidentaux. La question est ce qu’elle induit dans le microbiote.
    Pour ce qui est des contaminants, c’est la même chose pour tous les aliments. C’est sûr qu’en confiant la culture et la transformation des insectes à des industriels, on peut imaginer ce que l’on va trouver… Et on peut aussi imaginer des élevages à échelle humaine avec des valeurs écologiques et des moyens de transformations respectueux de la qualité nutritionnelle.
    Donc au final, on arrivera sans doute à considérer les insectes comestibles comme une source de protéines qui a des atouts, et pour laquelle la qualité et des proportions non excessives dans la diversité s’appliquent avantageusement comme pour toutes les sources de protéines.

    1. Bonjour Jacques,

      Merci de ce commentaire auquel je souscris totalement.

      En effet, la consommation d’insectes n’est en réalité pas vraiment une nouveauté, même chez nous. Et il est bien vrai de rappeler que les risques d’intoxications et d’empoisonnement sont nombreux avec les viandes ou poissons. Qui mangerait du porc cru ? Même avec les sushis on prend des risques.

      Et encore oui pour la chitine et son rôle, même sans être digéré. Les fibres alimentaires que nous sommes bien incapables de digérer sont pourtant essentielle afin de maintenir un transit intestinal optimal, de nourrir un microbiote équilibré et de participer à de nombreuses cascades de réactions métaboliques.

      Au plaisir d’échanger.

  3. Même en préparant beaucoup de repas par soi-même, il est évident que nous ingurgitons une certaine quantité de petites bestioles farceuses qui échappent à la vigilance du laveur de salade en se cachant dans les replis de celle-ci..

Répondre à Dominique ORSUCCI Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Tous les commentaires sont soumis à modération à priori. En postant un avis, vous acceptez les CGU du site Dur à Avaler. Si votre avis ne respecte pas ces règles, il pourra être refusé sans explication. Les commentaires avec des liens hypertextes sont sujets à modération à priori. La partie commentaire d'un article réservé aux membres peut être accessible à tous, mais les commentaires des internautes non inscrits n'ont pas vocation à être publié. Merci d'émettre vos avis et opinions dans le respect et la courtoisie. La partie commentaire sera automatiquement fermé 30 jours après publication de l'article.