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L’association médicale Prescrire, réputée indépendante et peu tendre avec l’industrie pharmaceutique aurait des liens d’intérêts avec le Gouaivernement, expliquant une position « malhonnête » sur l’ivermectine. Enquête.

Capture d’écran de la page internet de Prescrire sur l’ivermectine.

Prescrire, incontournable et nécessaire

La revue médicale française Prescrire a pour vocation d’apporter aux professionnels de santé des informations médicales décryptées, claires, en toute indépendance et transparence.

La revue médicale Prescrire qui existe depuis janvier 1981 est indépendante de l’industrie pharmaceutique et des organismes publics. Elle est intégralement financée par ses abonnés.

Prescrire est donc une revue créée pour et par les professionnels de santé. La majorité des rédacteurs sont du corps médical, avec quelques journalistes ou sociologues « particulièrement compétents dans leur domaine » d’après la revue.

Dans le paysage scientifique et médical français, la revue est éminemment connue pour ses analyses scientifiques qui écornent l’image positive de nombreux médicaments. La revue réalise tous les ans sa fameuse « liste noire » des pires médicaments autorisés avec des balances bénéfices sur risques défavorables.

Prescrire est loin d’être tendre avec l’industrie pharmaceutique ni avec les autorités de santé, surtout quand ces derniers déforment la littérature scientifique pour servir leur intérêt.

Si la revue médicale ne fait pas l’unanimité, elle occupe une place rare d’observateur indépendant des pratiques médicales en France et dans le monde.

Elle est devenue incontournable pour se forger un avis critique sur les médicaments, les recommandations médicales et les dispositifs médicaux.

Ivermectine : la nouvelle chloroquine torpillée par Big Pharma ?

L’antiparasitaire quasi gratuit, connu de longue date et accessible partout serait extrêmement efficace à n’importe quel stade de la maladie Covid-19. L’ivermectine remplace pour ainsi dire l’hydroxychloroquine. Avons-nous enfin le remède miracle ou répétons-nous les mêmes erreurs du passé ?

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2 commentaires
  1. Bonjour Jérémy,
    encore une fois, vos enquêtes mettent en avant l’importance de la notion d’esprit critique et son application. Merci. Une question m’est venue à l’esprit. En relisant le serment d’Hippocrate et le code de déontologie français que je ne connaissais (je pratique en Suisse), je me suis demandé si le docteur Maudrux le respectait et se l’appliquait au niveau strict et/ou au niveau de l’esprit ? Pour affiner ma question, n’est-il pas dit : ” tu ne nuiras pas” ? Dans quelle mesure, sur le plan de la morale et de l’esprit desdits documents, sa démarche ne nuit-elle pas à la santé des individus en tentant de discréditer une source d’information médicale ? La question peut sembler en apparence éloignée de la science et de la médecine occidentale, sauf à se rappeler ou à savoir que notre médecine occidentale est celle de l’EBM (Evidence Based Medecine), médecine fondée sur la preuve ? N’en sommes-nous un peu, beaucoup ou pas du tout éloignés dans ce cas ?
    Ce qui, en élargissant le questionnement, pourrait s’appliquer aux propos tenus par des hommes politiques non médecin, sur tel ou tel traitement médical, en s’appuyant sur leurs ressentis, expériences personnelles, leurs convictions (par ailleurs tout à fait respectables en démocratie) mais qui semblent un peu éloignés, là encore, de cette Evidence Based Medecine. En faisant un copier/adapter d’une célèbre publicité pour une soupe de légumes où la mère de famille en lisant l’étiquette des composés dit “C’est quoi déjà le E422 comme légume ?” j’aurai tendance à dire “c’est quoi déjà l’opinion du député/maire/sénateur X comme preuve médicale EBM ?”

    1. Bonjour Benoit,

      Merci de ce commentaire. On peut effectivement se poser la question concernant la démarche du Dr Maudrux. Je pense que les professionnels de santé peuvent, et doivent, être capable de faire des critiques constructives et argumentés des informations et des sources médicales. C’est une bonne chose qui doit être encouragé pour confronter les idées, la qualité des évidences scientifiques et bien sûr améliorer la prise en charge des patients.

      Mais dans ce cas précis, le Dr Maudrux ne réalise pas une critique constructive de la revue Prescrire, en l’attaquant avec des arguments contestables et proprement ubuesques (conflit d’intérêt). Je pense sérieusement qu’il y a des problèmes dans le respect du code de déontologie et notamment du devoir de prudence dans les affirmations faites dans les médias et sur internet. Pour le “premièrement ne pas nuire” cela se questionne.

      N’oublions pas que dans l’EBM, il y a les désirs et la volonté du patient qui doit être prise en compte. Nous avons tendance à l’oublier en se basant un peu trop sur la qualité des évidences scientifiques uniquement.

      Au plaisir de vous lire,

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