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Le petit déjeuner servit dans les écoles de la République devra être “équilibré” et de “qualité” selon les annonces du Gouvernement. Nous allons voir que selon les dogmes en vigueur sur l’équilibre d’un petit déjeuner (riches en produits industriels et en sucres ajoutés), les enfants risques d’avoir un repas qui ne remplira pas les standards scientifiques et nutritionnels pour être en bonne santé : à savoir des produits frais, le moins transformés possibles, avec des index ou ds charges glycémiques basses.

Les petits déjeuners servis dans les écoles de la République seront-ils “de qualité et équilibré” comme le stipule le communiqué de presse du Gouvernement ? À l’initiative de l’éducation nationale, cette mesure se veut à la fois humaniste, pour réduire les inégalités sociales, sanitaires, pour lutter contre la sous-nutrition et l’obésité (même si ce point n’est pas clairement dit) et sociales, pour augmenter les performances scolaires des enfants.

Pourtant, cette nouvelle enquête inédite révèle que cette initiative ne remplira vraisemblablement pas son rôle, et plus grave, elle pourrait dégrader une situation sanitaire déjà bancale.

Voici le premier volet de cette enquête avec l’équilibre des menus. Cette enquête se base sur la seule déclaration des professionnels de santé puisque nous n’avons pas encore connaissance de la nature exacte des petits déjeuners.

Cette enquête sera complétée par l’analyse réelle des menus quand ils auront été distribués. Vous pouvez vous associer à la démarche en envoyant les photographies détaillées des petits déjeuners dans vos écoles choisies par le dispositif.

Pain, biscotte et compote ?

Dans la foulée de cette annonce officielle, de nombreux journaux et magazines de santé ont repris la nouvelle, avec le concours de professionnels de la santé, comme le magazine AlloDocteurs.

Dans un article publié récemment, le magazine demande l’avis d’une médecin nutritionniste, le Dr. Corinne Chicheportiche-Ayache, sur la nature d’un petit déjeuner équilibré, puisque la définition manque dans le communiqué gouvernemental.

Pour le médecin nutritionniste, un petit déjeuner équilibré “doit comporter une source de sucre lent”, avec au choix “pain, biscottes ou céréales non sucrées et non grasses”, ainsi “qu’un produit laitier et un fruit frais ou une compote.”

Une déclaration tout à fait classique dans le milieu de la nutrition, mais qui pourtant étonne, pour plusieurs raisons.

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