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Après l’excès des fêtes, nous sommes de plus en plus nombreux à faire un mois d’abstinence sur notre consommation d’alcool. Ce programme de santé publique est-il efficace, et sans danger ? On fait le point sur la tendance « Dry January ».

© Timothy Dykes | Unsplash

Se priver pour notre bien ?

Le mois sans alcool gagne en popularité depuis les années 2010. De plus en plus de pays et gouvernements réalisent des campagnes publiques pour inciter le plus de personnes à ne plus de consommer d’alcool.

Ce challenge intervient souvent juste après les fêtes, en janvier, sous le terme de Dry January.

Car décembre rime souvent avec l’abus d’alcool (et de nourriture…), le mois de janvier semble particulièrement bien adapté pour s’interroger sur sa consommation d’alcool et la mettre volontairement en pause.

On peut désormais s’inscrire sur des listes pour obtenir des conseils, du soutien et de la motivation pour tenir le défi sans alcool.

Si l’objectif est évident, les conséquences du mois sans alcool soulèvent des questions importantes sur les bénéfices et les risques de la pratique.

Car tous les programmes de santé publique doivent subir des évaluations objectives pour vérifier que les bénéfices attendus dépassent les risques, avec parfois des conséquences négatives indirectes (comme le dépistage du cancer du côlon, les mammographies…)

Mais les bénéfices d’un tel programme ne devraient laisser aucune place au doute !

La consommation d’alcool excessive, chronique, et même modérée, a des impacts majeurs sur toute la société…

  • addiction
  • violences
  • accidents de la route
  • maladies (cancer, « foie gras », etc..)

Surtout que cette consommation d’alcool ne faiblit pas d’une manière générale, dans les pays développés (bien au contraire), avec des tendances extrêmement néfastes comme le « binge drinking ».

Alcool : un verre est-ce déjà trop ?

On nous a toujours dit : “un verre par jour est bon pour la santé”. Mais est-ce un message de santé publique ou du lobby de l’alcool ? Les résultats des études scientifiques sont contradictoires, mais semblent indiquer une absence de risque avec un verre par jour.

Le « janvier sobre » finlandais

Image d’illustration (Stijn Swinnen)

Le premier mois sans alcool officiellement promu par des autorités remonte en 1942, en pleine seconde guerre mondiale.

Le gouvernement finlandais proposait à ses compatriotes de soutenir l’effort de guerre du pays contre l’Union soviétique en arrêtant de boire de l’alcool au mois de janvier.

Pour quelles raisons exactement ? Ce n’est pas si clair que ça, mais probablement pour éviter d’avoir des soldats sous l’emprise de l’alcool.

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