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Le paracétamol aurait-il tué pendant l’épidémie de Covid-19 ? Question importante soulevée par un médecin, on analyse le rôle de l’antalgique le plus vendu au monde.


Paracétamol : un réflexe mondial à surveiller

Le paracétamol est la molécule active qu’on retrouve dans les fameuses boîtes jaunes de Doliprane, de son nom de marque. Le paracétamol est autorisé pour traiter deux grands maux du quotidien : les douleurs légères et la fièvre.

C’est donc un antalgique et un antipyrétique qui aide à faire baisser la fièvre.

C’est le plus utilisé dans le monde ! Et petite information à sortir dans les salons de thé, mais on parle à l’internationale de l’acétaminophène (utile pour vos recherches sur les plateformes médicales…)

Une molécule dont on ignore aujourd’hui toujours les mécanismes d’action exacts, mais dont les risques, eux, sont plutôt bien connus. Le surdosage de paracétamol peut être fatal, avec des complications rénales et hépatiques (le foie) dramatiques.

C’est pour cette raison qu’il faut respecter les dosages journaliers. Une remarque valable pour tous les médicaments, sans distinction.

Car on utilise le paracétamol pour un peu tout et n’importe quoi. Une gueule de bois… Un mal de crâne léger ou passager… Le surdosage est vite arrivé. C’est d’ailleurs la molécule la plus touchée par le surdosage, pour lequel nous disposons de peu de moyens thérapeutiques (1).

On veut quelques chiffres ? Une étude publiait en 2016 nous rapportait que sur 2070 cas d’insuffisance hépatique aux USA, la moitié avait pour origine un empoisonnement au paracétamol (2).

Donc mollo sur les cachets.

Mais en dehors des cas d’intoxications avec surdosage, le paracétamol aurait-il pu être responsable d’une hécatombe chez les Français pendant le pic épidémique de Covid-19 ?

Connu pour ses propriétés antipyrétiques – faire baisser la température, est-ce que cela n’aurait pas entraîné une sorte de déprime du système immunitaire avec une augmentation de la mortalité de l’infection respiratoire de SRAS-Cov-2 ?

C’est ce que soutient un « médecin résistant » qui a publié une analyse dans le journal France Soir, et pour lequel j’ai déjà pu écrire quelques enquêtes, où l’explosion des ventes de paracétamol est étrangement associée à la mortalité de Covid-19 (3).

Cet article est la suite, l’épisode n°2, de mon premier billet sur la fièvre, cette effrayante et indispensable réaction de l’organisme que je vous recommande chaudement de lire.

La suite vous intéresse ? 

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