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Avec plus de 15 ans de recul sur les premiers programmes vaccinaux, il est temps de faire le point sur les bénéfices et les risques de la lutte vaccinale contre les papillomavirus humains, dont certains participent aux développements de plusieurs cancers.

© Mika Baumeister | Unsplash

Sus aux papillomavirus !

Cette famille de virus était relativement inconnu du grand public jusqu’à la commercialisation des premiers vaccins pour s’en protéger.

Ce sont les fameux Cervarix et Gardasil.

Deux vaccins qui ont été déployés dans le monde entier depuis 2007 pour limiter les infections aux papillomavirus humains (PVH ou HPV pour human papillomavirus en anglais) et par effet de ricochet les cancers du col de l’utérus (mais aussi de la vulve et du vagin).

Les femmes sont donc la première cible pour les programmes de santé publique.

Mais aussi les hommes.

Car les vaccins pourraient aussi limiter les cancers de :

  • l’anus
  • la bouche (qui touchent les deux sexes)
  • et d’autres verrues disgracieuses sur les parties génitales (les condylomes)

Mais cette vaccination s’est rapidement heurtée au mur des sceptiques, dont j’ai fait partie.

Nous n’avions à l’époque que des indications indirectes d’efficacité sur les lésions précancéreuses (CIN) avec la nécessité de continuer l’effort de dépistage par frottis.

Un paradoxe dérangeant quand les retours de terrain montraient une possible baisse des frottis à cause d’un sentiment de protection total.

Les risques de la vaccination ont généré aussi beaucoup de questions et d’inquiétudes.

Mais nous avons aujourd’hui plus de 15 années de recul sur les premiers programmes de vaccination dans le monde, avec des centaines de publications.

Des études sur les bénéfices en vie réelle de la vaccination contre les cancers du col (et d’autres).

Également des travaux épidémiologiques de grandes ampleurs sur les risques liés à cette vaccination.

On parlera des fameux syndromes de Guillain-Barré, de Raynaud ou encore la maladie d’Hashimoto qui touche la thyroïde.

On fait le point sur ce sujet qui interroge récemment mis sur les devants de la scène par Emmanuel Macron.

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5 commentaires
  1. Il me semble avoir lu qu’en Australie aussi réduction importante des K du col . Ces études in Vivo ont un grand intérêt …le pragmatisme

    1. Bonjour Jean-Louis,

      Oui les données sont aussi intéressante. Ce sont les premiers a avoir lancé les programmes de vaccination chez les jeunes filles.

      Toutefois, les études scientifiques sont minces, assez paradoxalement, le sujet de l’Australie sera traité en détail dans le prochain volet de cette enquête. On note toutefois un effondrement des cas de cancer du col dans les tranches d’âge 15-24 ans qui correspond au début de la vaccination avec les cohortes de jeunes filles âgée de 9 ans à l’époque.

      A te lire

  2. Bonjour Jérémy,
    As-tu des études qui prouvent la responsabilité des virus dans les pathologies citées?
    Je m’explique, appréciant de parler de ce que je connais et ai pu expérimenter.
    Après mon rééquilibrage alimentaire de 2014, plus aucune des nombreuses pathologies hivernales essentiellement virales que je développais auparavant : zéro pointé. Or mon comportement vis à vis du risque est absolument inchangé, à savoir que je ne me protège pas plus qu’avec un simple lavage des mains à l’eau. Je pense donc cohabiter chaque hiver avec les mêmes germes.
    Par ailleurs, quasi plus aucun herpès labial, alors qu’il pointait le bout de … sa lèvre parfois tous les mois : il refait surface une ou deux fois par an, après grosse exposition au soleil… ou au stress psychologique.
    Je pense que la vision pasteurienne confond allègrement concomitance et causalité. Mes expériences me suggèrent que les virus s’expriment une fois mon terrain déséquilibré, dans un second temps.
    Avec ton expertise dans l’analyse des études, pourrais-tu m’éclairer stp?

    Hélène ALTHERR Pharmacienne experte en Santé naturelle

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