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Pour la première fois, les mystérieux repas servis dans les cantines d’une école primaire ont été photographiés puis analysés par une équipe indépendante de professionnels de la santé. Le résultat de nos professionnels est sans appel : pas assez de légumes ni de fruits, trop de fritures, trop de desserts lactés ou de pain blanc. On vous livre ici nos recommandations pour rectifier le tir à la maison.

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Les menus des enfants à la loupe

La Restauration française (une marque de Sodexo) est une entreprise spécialisée dans la restauration collective, qui livre en Nouvelle-Calédonie plus de 16.000 repas par jour à Nouméa et Grand Nouméa, selon son site officiel. Les principaux établissements desservis par l’entreprise sont les écoles maternelles et primaires, et dans une moindre mesure, les centres de loisirs, les maisons de retraites et d’autres « organismes sociaux » toujours selon eux.

La Restauration française – Sodexo possède une sorte de charte « nutrition et équilibre alimentaire » consultable en ligne à tout un chacun. Cet engagement se manifeste par la volonté de « favoriser l’équilibre nutritionnel et le bien-être de chacun », en veillant aux menus et aux portions qui sont, selon les restaurateurs, adaptés « aux besoins de chaque tranche d’âge ».

Le groupe de restauration collective conclut que, chaque jour, « nos clients reçoivent l’apport énergétique qui leur est nécessaire. »

Finalement, nous apprenons dans cet engagement que le « plan alimentaire » de l’entreprise est développé en collaboration avec une diététicienne et un coach sportif (à lire ici).

Pour savoir ce que mangent les enfants à la cantine, les parents n’ont véritablement pas d’autre choix que de visiter ledit site de la Restauration française qui propose les menus de la semaine (un exemple ici), en fonction des collectivités, et d’imaginer la texture, la qualité et la quantité de nourriture servie.

Parfois, les cantines ouvrent leurs portes aux parents d’élèves pour une semaine, afin de découvrir comment se déroule le service, l’ambiance mais pour savoir aussi ce que mangent réellement les enfants.

C’est l’occasion rêvée pour certains parents de vérifier par eux-mêmes l’équilibre alimentaire des menus proposés, puisque certains parents ont des doutes sur cet équilibre, pensant qu’il n’y ait pas « assez de légumes » par exemple.

Mais en dehors des portes ouvertes très occasionnelles, qui nécessitent de se dégager du temps pour visiter l’école de ses enfants, que mangent nos petits bouts à la maternelle et à l’école ?

C’est bien ce que nous avons voulu savoir.

Des repas photographiés et analysés

Afin de se faire une idée de la qualité des repas servis à nos enfants dans les écoles primaires, je me suis procuré une vingtaine de photographies de plateaux durant 3 mois (mars-avril-mai) avec le soutien logistique de l’association Ensemble pour la Planète.

Les clichés ont ensuite été analysés par une équipe de diététiciens – nutritionnistes indépendants.

C’est le site Lanutrition.fr qui a été chargé de réaliser l’analyse de la qualité des menus proposés aux enfants. Lanutrition.fr a déjà réalisé par le passé l’analyse de plusieurs menus de cantines métropolitaines, et leur politique nutritionnelle est extrêmement bien mise à jour, avec des standards élevés de qualité.

Mais alors, qu’en est-il des commentaires de ces professionnels sur la qualité des menus servis à nos enfants ?

« Un manque cruel de légumes »

Si l’on peut passer outre la présentation très peu appétissante des plateaux –nous ne sommes pas dans un restaurant quatre étoiles- il est difficile de faire l’impasse sur les nombreux déficits en légumes, fruits et sur les excès en sauces et fritures.

La principale critique formulée par les professionnels sollicités est le manque flagrant de végétaux, de légumes et de fruits, qu’ils soient crus en entrée ou cuits dans le plat principal.

Les plateaux analysés sont donc dramatiquement dépourvus de vitamine C et de nombreux antioxydants qui participent au maintien en bonne santé de l’organisme. Les principaux pourvoyeurs de vitamine C et d’antioxydants sont les légumes et les fruits.

Malheureusement pour les enfants qui déjeunent à la cantine, certains légumes, comme le chou-fleur, baignent dans une sauce béchamel jugée « d’une piètre qualité nutritionnelle ». Dommage.

« Omniprésence du pain blanc »

Le pain blanc, contrairement aux fruits et aux légumes, est systématiquement présent dans les plateaux servis aux enfants.

Le pain blanc possède un index glycémique élevé, ce qui peut entraîner une augmentation brutale de la glycémie entraînant des phénomènes de fatigue et de faim dans l’après-midi (hypoglycémie dite réactionnelle).

Selon l’équipe sollicitée pour analyser nos plateaux, cet aliment n’aurait « rien à faire dans l’alimentation des petits et des grands » : il contient très peu de fibres, peu de minéraux, avec une densité nutritionnelle très faible. En bref, ce sont des calories vides, largement critiqué dans les colonnes du blog.

Nous pouvons rajouter à cela un très fort risque cariogène pour nos enfants avec ce type de menu. L’information nous vient d’un dentiste de la place qui juge le pain blanc comme « extrêmement cariogène » : le risque de développer des caries est donc très élevé.

Les enfants n’ayant en général pas la possibilité de se laver les dents après le déjeuner à la cantine, les dangers pour la santé bucco-dentaire sont bien réels.

Parfois certaines associations d’aliments laissent pantois : pain blanc, pâtes blanches, et pommes de terre qui confèrent au plateau une charge glycémique très importante (menu du 28 avril) pouvant générer un boom glycémique chez nos enfants.

Beaucoup de fritures et de desserts lactés sucrés

L’équipe sollicitée pour réaliser ce travail regrette la présence trop importante de poisson frits ou sous forme d’hachis Parmentier (un seul plateau contient du poisson non pané). Malheureusement pour les enfants, les sources de protéines animales sont jugées « de faible qualité nutritionnelle », étant à base de boulettes de viande ou de saucisses…

Les desserts lactés et sucrés sont également pointés du doigt. Flans, crèmes desserts, yaourts sucrés et parfois des fromages de type La vache qui rit inondent les plateaux des enfants. Ces aliments sont parfois couplés avec une compote de pomme, très sucrée, et du pain blanc, une série d’aliments mous qui ne « tiendront pas longtemps au corps » selon Angélique HOULBERT, la diététicienne-nutritionniste.

Les fibres sont également dans le collimateur des professionnels. Les excès de pain blanc, riz blanc, pâtes blanches, et de compotes avec un déficit en fruits et légumes entraîneraient un « manque cruel de fibres ».

Pour conclure, au niveau des quantités fournies, elles seraient adaptées à des enfants en maternelle mais pas pour des enfants en école primaire, pour qui justement les plateaux sont servis.

Comment rectifier le tir ?

Malheureusement les repas servis dans les écoles primaire (et à priori maternelle) ne sont pas des modèles parfaits d’équilibre alimentaire.

Il faut en être cependant conscient pour rééquilibrer l’ensemble à la maison.

Bien sûr, et sans surprise, vous devrez privilégier les légumes et les fruits au dîner et au petit déjeuner. Pour les légumes, essayez autant que possible de cuisiner des produits frais (beaucoup de légumes servis à la cantine viennent de conserves) et si possible à la vapeur.

Evitez d’utiliser des fritures qui peuvent être en excès lors du déjeuner à la cantine, et au niveau des poissons, essayez de privilégier les poissons gras (tels que saumons, harengs, sardines, maquereaux) qui sont des sources de vitamine D et d’oméga-3 (qui manque terriblement dans les cantines)

Au niveau des laitages, la cantine assure déjà une bonne représentation de ce groupe d’aliments (c’est le cas de le dire), il vous est alors possible de ralentir la fréquence afin de ne pas dépasser une consommation de plus deux laitages par jour.

Optez pour du pain complet au levain à la maison pour contrebalancer la présence systématique de pain blanc servi à la cantine.

Finalement, n’hésitez pas à questionner votre enfant sur la teneur de son repas du midi pour vous adapter en conséquence.

Des photographies citoyennes

Bien entendu, ce travail préliminaire met en lumière des déséquilibres alimentaires sur un échantillon d’une vingtaine de plateaux-repas uniquement.

Pour que les futures analyses soit plus fiables, plus percutantes et qu’elles aient un impact majeur sur la politique nutritionnelle des sociétés privées, tel que la Restauration française – Sodexo, nous devons recevoir plus de photographies de vos repas.

Une adresse mail a été créée spécialement pour recevoir tous les clichés des menus servis dans les cantines.

cantine-caledonie(at)dur-a-avaler.com

Nous invitons les enseignants, les collégiens ou les lycéens à prendre leurs plateaux-repas en photo, en nous précisant la date, l’établissement et les destinataires des menus (maternelles, primaires, etc.)

Des mises à jour seront progressivement publiées sur le blog avec une analyse de la qualité nutritionnelle des menus.

Faites-nous voir ce que vous mangez !

Découvrez les plateaux photographiés

 

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23 commentaires
  1. Bonjour depuis la rentrée je m’interroge sur ces menus et je pense qu’une petition qui demanderais au autorités de droit de verifier les menus (equilibre et qualité) serait la bien vennue je serais la premiére à la signer car là ou il y a monopole il y a toujours un risque. A noter je viens d’aller visiter le site pour voir les penus mais le dernier en ligne date de la semaine du 11/05 !!

  2. Je pose la question chaque jour à mon enfant – et j’avoue que je suis découragée de voir en image ce que nos enfants mangent – Encore une fois un manque cruel de fruits et légumes – A quoi bon de leur inculquer de manger 5 fruits et légumes par jour dans des publicités à la télé.. Il faut corriger le tir ….

  3. Merci pour cet article, qui mérite large diffusion !! On se demande ce que fait le GEMRCN (jamais entendu parler?) ? C’est vrai que la situation de monopole rend la tache encore plus difficile pour faire bouger les choses, évoluer les mentalités. Peut être communiquer avec la DASS et l’agence sanitaire et sociale qui a aussi un programme de lutte contre l’obésité?

  4. Bonjour,
    moi aussi ça fait pas mal de temps que je me demande comment savoir exactement ce que mangent mes enfants à la cantine.
    Les menus du mois sont affichés à l’école, mais on ne sait pas vraiment à quoi cela ressemble.
    Déjà, en lisant les menus, j’ai des bouffées d’énervement (dans le même repas : taboulé + poisson pané + riz + beignet aux pommes par exemple). Certes, dans la commune où je vis, il y a du bio tous les jours, mais comment faire pour savoir exactement l’aspect, quantités et qualité des repas?
    Les enfants en primaire (et en maternelle) ne peuvent pas prendre les plateaux en photo. Les enseignants, quant à eux, ne déjeunent même pas à la cantine….
    Un site rassemblant les photos de plateaux repas d’écoles, d’entreprises, d’hôpitaux, serait très intéressant! Un “wikicantine”….

    Merci pour l’article!
    Ps : et comment faire pour éviter de manger dans ces affreux plateaux repas?? quelle tristesse!!

  5. Je ne défends pas les cantines et je pense qu’il y a des progrès à faire, mais l’article est tellement subjectif qu’il n’a pas grande valeur.
    L’auteur base son avis sur une vingtaine de photos de repas sur 3 mois. Si on estime qu’en 3 mois, il y a une soixantaine de repas, l’analyse ne se base que sur un tiers des repas. Et pensez bien que pour défendre son point de vue, la personne n’a pas choisi les photos des repas les plus équilibrés.

    1. Salut Kicqillou,

      L’article manque de précision à ce propos. En réalité, en prenant en compte le premier et le dernier cliché, avec les jours fériés du mois de mai et le fait qu’il n’y ait aucun repas servis le mercredi, il y a eu 41 plateaux-repas et non 60.

      La représentativité de l’échantillon n’est donc plus d’un tiers, mais bien de la moitié. Selon vos propos, et si l’on souhaite vous croire, il semblerait que par le plus terrible des hasards, nous ayons pris en photo les pires plateaux ? Les 20 plateaux restant ne seraient donc composé que de fruits, de légumes frais, sans pain blanc et sans dessert sucré ?

      Je ne pense pas malheureusement, et il suffit d’aller voir les menus de tous les jours pour s’en convaincre.

      D’ailleurs les photographies ont été prise par un tiers complètement indépendant de mes contacts. Il n’y a eu aucun arrangement pour sélectionner tel ou tel plateau, l’analyse est donc au contraire objective.

      Elle l’est d’autant plus que les clichés ont été analysés par des professionnels indépendants, ce n’est pas seulement mon avis dont il est question ici.

      Alors désolé mais le “Je ne défends pas les cantines” est un mensonge au vu de votre commentaire qui tente de sauver l’image de la cantine sur des biais hypothétiques.

      Si vous avez la possibilité de prendre des menus en photos, apportez-nous donc la preuve d’un meilleur équilibre, je serais ravi de les publier.

      1. Ayant travaillé 5 ans comme coordinatrice pour une grosse assoc de centre de loisirs du caillou, ayant vu des centaines de plateaux repas, je peux confirmer, de ma seule expérience, que c’est très certainement malheureusement une généralité… Souvent, la bouffe servie est très peu ragoutante, ne donne pas envie aux enfants avec ces couleurs et ces textures aux allures de vomit… Souvent… Les enfants se ruent sur le pain car ils ont faim, mais n’ont pas envie de manger ce qui leur est servi, ou préfèrent encore rester le ventre vide…

        un exemple? une intervention de cuisine lors des dernières vacances scolaires… J’ai halluciné… lundi: saucisses rose flu & flageolets… vendredi: les mêmes saucisses froides, figées dans la graisse refroidie, pdt à la mayo + une barquette remplie de mayo pour faire passer le tout…

        Et c’est dommage que je n’ai pas récupéré la photo de la directrice de centre qui a trouvé un morceau vert-bleuté dans sa saucisse tout rose…

  6. Parents responsables, si vous avez équipé vos enfants de smarphone, alors il y a pas à hésitez. Un gros échantillon fera taire les sceptique et permettra de faire pression pour changer les choses

  7. On peut aussi sérieusement s’intéresser à la présence des OGM dans les cantines et à la qualité des aliments, du poulet US par exemple, ou du pangasus , tous deux gavés de poisons..On travaille sur le sujet pour des cantines sans OGM, il ny a pas de surcout à ce que les cantines soient sans OGM; Pour les écoles primaires, les Maires décident de ce que les enfants mangent dans les cantines.
    http://www.stopogmpacifique.org/2015/03/18/ogm-et-collectivit%C3%A9s-locales/

  8. Ce problème existe depuis que les cantines existent.. et même en métropole.

    Le fait est que tant que les plats étaient cuits directement dans les cuisines scolaires, c’était encore mangeable.

    Mais depuis que c’est en main de Sociétés extérieures, la qualité a baissé, forcément. Car l’objectif est malgré tout de gagner de l’argent et non pas de bien nourrir des enfants.

  9. Merci jeremy pour cet article, c’est vrai que les cantines depuis le temps ca s’est vraiment détériorer je trouve. Je pense qu’il y a quelque chose a faire avec tout les producteurs locaux, je sais pas pour qu’il ait au moins des produit frais de temps en temps dans leur plateau. Moi tout les produits surgelé conserve et autres et leur conservateur et produit chimique, tout ca ne m’inspire plus grand chose, sans parler bien sur des OGM. De fait la quantité prime plus que sur la qualité

  10. L’explication de ce déséquilibre nutritionnel est malheureusement très simple : les hydrates de carbone et les crèmes dresser coûtent beaucoup moins cher que des légumes et des fruits…

  11. Autre absurdités : les portions sont les memes qu’on ai 8 ou 11ans / 12 ou 14ans….pourtant dun point de vue physiologique il ne font pas la meme taille et donc n’ont pas les même besoins nutritionnel..donc les affamés se rattrape sur les bouts de pain!!!! NORMAL????

    PAROLE D’ENSEIGNANT

  12. Hé bien, non seulement ce n’est pas bien équilibré, mais en plus quand on me dit que les menus des cantines ne sont pas aussi mauvais (niveau gustatif comme nutritionnel) qu’il y a 20 ans quand j’étais moi-même à la cantine, je me permets d’en douter. Ça a l’air tout aussi dégueulasse (pas d’autre mot). Pauvres gamins, on leur impose des horreurs immangeables, leur éducation au bon goût n’est pas faite, ce qui en fera des adolescents puis des adultes paumés mangeant des hamburgers et des bols de ramen instantanés le soir en revenant du travail, tout ça parce qu’ils ne connaissent rien de mieux.

  13. J’ai depuis longtemps passé l’âge de manger dans les cantines scolaires et je m’en réjouis car au vu des photos des menus, j’en ai mal au ventre ! J’ai des souvenirs de mes repas scolaires et finalement c’était bien meilleur, plus appétissant et plus équilibré. Comme ils sont tristes et pauvres ces plateaux, ternes, sans fruits ni légumes crus ou cuits. Et comme ils sont malsains pour les enfants ( et les adultes aussi )! Malheureusement Sodexo, qui sévit aussi en métropole, est un énorme groupe côté en bourse, et son but premier ( et peut être le seul ) est de faire des profits substantiels… sur le dos des enfants entre autres. C’est un scandale qu’il faut faire éclater. Merci Jérémy pour cette initiative très louable et indispensable. L’alimentation est la première des médecines et bon nombre de maladies seraient évitées si ces énormes trusts de la restauration respectaient les consommateurs. Une idée, si Sodexo ne réagit pas rapidement, serait peut-être de ” bouder ” ces cantines en préparant un repas équilibré à la maison pour les enfants. Je pense qu’après quelques jours, Sodexo entendrait le message et rectifierai le tir…

  14. Bravo pour votre initiative!
    Il y a longtemps que je souffre de voir cette mal-bouffe institutionnalisée et prétendue conforme aux besoins nutritionnels de la personne ! Besoins en calories peut-être et comme disait ma grand-mère, mais c’était post guerre, “estomac rempli de pierres ou de cailloux …”
    A quand l’initiative rendue aux écoles de s’adresser à un prestataire de service respectueux, une liaison production maraîchère locale/préparation repas de proximité, où on mangerait ce qui est produit ici et maintenant en harmonie avec les saisons? Des initiatives de ce type se multiplient en Europe quand on veut on peut… mais ici c’est le royaume de la mal-bouffe pas chère, alors que dans les champs, les fruits et légumes abondent et parfois restent à pourrir car non commercialisés … Tout un travail d’organisation à l’échelle du Pays est à réaliser.
    Merci encore…

  15. jueves 27 de agosto 16h.estoy poniendo lotes a la venta y el sistema no me permite poner fotos a los lotes.tras varios intentos infructuosos desisto y apago el ordenador.28 agosto 02h.me carga la pagina y a los pocos minutos esta desaparece.mi pregunta es que ha pasado?cuando va a estar soluccionado el prdomela?saludosebuardo

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