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Capture d’écran Youtube.

Le célèbre médecin américain président des « Frontline doctors » est le moteur d’une intense campagne de réinformation sur les traitements éprouvés du Covid-19. Des alternatives réputées extrêmement efficaces, mais dénigrées par les autorités. Enquête sur cette personnalité scientifique et médicale.

Pierre Kory : cheville ouvrière de la « réinformation »

On ne présente plus le plus connu des docteurs américains, Pierre Kory, une figure majeure et influente des mouvements alternatifs à la doxa dominante sur la crise de Covid-19.

L’ancien chef de service des soins critiques de l’université du Wisconsin est rapidement devenu une des cautions scientifique et médicale de référence pour défendre l’intérêt des traitements supposés efficaces (comme l’hydroxychloroquine ou bien sûr l’ivermectine) au niveau international.

Des traitements rejetés par les autorités médicales internationales (comme l’OMS) au grand dam des généralistes convaincus de leurs efficacités, comme le docteur Gérard Maudrux qui s’épanche régulièrement sur son blog ou encore le docteur Eric Ménat, qui intervient régulièrement avec la Fondation Hippocrate (ou dans le documentaire « Mal Traités »).

Il est aujourd’hui massivement sur les réseaux sociaux, avec plus de 88.000 abonnés à son compte Twitter où il partage ses états d’âme et ses analyses scientifiques (1).

Des analyses publiées à travers la voix d’un organisme crée spécialement à l’occasion de la pandémie de Covid-19, le FLCCC (pour le Frontline Covid-19 Critical Care en anglais).

On reviendra plus en détail sur cet organe de réflexion qui réalise une véritable propagande pour diffuser toutes les études et idées favorables aux thèses alternatives, dont Pierre Kory est le président (2).

Un groupe qui possède lui aussi une immense caisse de résonnance sur Twitter avec près de 75.000 abonnés (3).

Les messages du groupe qui défend notamment l’utilisation immédiate et généralisée de l’ivermectine obtiennent facilement des relais nationaux et internationaux, avec des médias controversés comme France Soir.

On y reviendra.

Le curriculum vitae et l’autorité

Pour être une référence scientifique, l’autorité est importante. Le CV du docteur américain qui fait la promotion de l’ivermectine est à la hauteur du personnage et de ses affirmations.

Il est gargantuesque.

Vous trouverez rapidement l’impressionnant CV du docteur Pierre Kory sur le site des FLCCC.

28 pages où s’enchaînent les nombreux diplômes, certificats, avec les récompenses et les honneurs qui s’étalent sur presque deux pages.

La liste des publications de l’ancien chef de service d’unité de soin critique est aussi flatteuse. 50 études sont référencées avec 9 d’entres elles où Pierre Kory est l’auteur principal.

On retrouve les innombrables conférences et enseignements donnés par le président des FLCCC, et même un brevet déposé en 2012 pour un dispositif limitant les contaminations des professionnels de santé.

Était-ce prémonitoire avec la pandémie de Covid-19 que le monde affronte depuis plusieurs mois ?

Quoi qu’il en soit, l’autorité de Pierre Kory dans le domaine de la santé n’est plus à prouver. Du moins, son expertise et ses compétences médico-scientifiques.

Il connaît bien les arcanes de la science, avec les soumissions des articles scientifiques, et les controverses qu’elles peuvent déclencher.

Justement, en parlant de controverse, c’est bien de cela qu’il est question avec le docteur Pierre Kory et les FLCCC.

Car le Dr Kory nourrit abondamment les controverses scientifiques et médicales sur le Covid-19 en faisant la promotion mordicus de traitements efficaces, sans montrer le moindre doute quant à ses positions et celle de son groupe.

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8 commentaires
  1. et que penses tu de ce brave jérémi Mercier:
    Que faire quand on a cédé aux injonctions et subi l’injection expérimentale ?

    J’ai reçu lundi 2 août dernier le Dr Astrid Stuckelberger pour ma 8ème émission Science en Conscience pour ReinfoCovid.
    Voici le lien de la vidéo (non censurable) sur CrowdBunker de l’émission :
    https://crowdbunker.com/v/U4gAdvog6a
    Nous y avons évoqué plusieurs sujets hyper sensibles et controversés :
    – Le contenu des injections expérimentales faussement dénommées « vaccins anti-Covid » par les autorités et dans le langage courant

    – Les dangers potentiels de ces injections expérimentales

    – Les manières possibles de se débarrasser de certains produits toxiques contenus dans ces injections expérimentales
    Parmi les produits toxiques, non mentionnés dans la liste officielle des ingrédients de certaines des injections expérimentales anti-Covid, il y aurait des nanoparticules d’oxyde de graphène.
    J’écris cela au conditionnel car l’étude de Ricardo Delgado qui en parle n’a fait qu’une analyse sommaire (notamment au microscope électronique en transmission) d’un seul échantillon de l’injection expérimentale du laboratoire Pfizer.
    Cependant, cette hypothèse pose question…
    Comment ce produit toxique pourrait-il être présent dans ces injections expérimentales ? Et s’il est effectivement présent… dans quel but ?
    Sans qu’il y ait de preuve absolue, il paraît souhaitable que les personnes ayant reçu l’injection expérimentale (en particulier celle à ARN messager des labos Pfizer et ModeRNA mais peut-être que cela touche tous les labos ayant produit des injections expérimentales) cherchent à éliminer de leur corps ces substances potentiellement problématiques.
    La solution proposée par Ricardo Delgado, mentionnée par Astrid Stuckelberger avec quelques rajouts et modifications est la suivante :
    – NAC (N-acétylcystéine), 750 mg le matin (acide aminé précurseur du glutathion, un anti-oxydant puissant)
    – Suramine sous forme de complément alimentaire, ou directement via des infusions d’épines de pin sylvestre (fraîches cueillies directement sur l’arbre ou achetées dans le commerce – en fait, pin, épicéa et cèdre feraient l’affaire, attention pas d’épines d’if, toxique) ou en huile essentielle à inhaler. En tisane : 3 tasses par jour, compter 1 à 3 cuillères à soupe d’épines de pin par tasse, dans de l’eau à 80°C
    – Zinc 50 mg, un des formes les plus assimilables est le bisglycinate de zinc.
    – Astaxanthine 5mg
    – Chardon-marie (plante riche en silymarine, pour le foie)
    – Vitamine D
    – Vitamine E
    – Vitamine C en gros cachet de 500 mg (préférer la vitamine C d’origine naturelle)
    – Zéolite
    – Mélatonine le soir pour mieux dormir
    – Sélénium
    – Phycocyanine et spiruline (micro-algue)
    Attention, je n’ai pas la posologie pour tous ces produits dans le cadre de cette tentative de nettoyer son organisme et je ne peux pas dire avec certitude que tout cela est efficace pour se débarrasser de toutes les substances problématiques de ces injections expérimentales.

    Voici aussi d’autres idées aussi qui me paraissent bonnes :

    – On parle aussi d’huile de nigelle (cumin noir : 1 cuillère à café par jour le matin à jeun… pendant 3 mois

    – Prendre du MMS (Mineral Miracle Supplement) = cf. méthode Jim Humble… mais encore un sujet hautement controversé ! Je pense que j’aurai l’occasion d’en parler à l’avenir.

    Sinon, pour prendre soin de son corps et l’aider à éliminer de manière générale les molécules problématiques issues de l’environnement et/ou de son mode de vie, je parlerai dans les prochains jours d’un protocole qui ne me finit jamais de surprendre par son efficacité et la puissance de ses résultats sur la santé.
    Je t’en dis plus demain.
    Bonne soirée !

    Jérémie

    PS : Retrouve l’article sur ce lien https://www.jeremie-mercier.com/contenu-effets-injections-anticovid/ et laisse-moi ton retour sur l’article ou ton retour d’expérience dans les commentaires
    Je suis Jérémie Mercier et je t’aide à redevenir le maître de ta santé
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  2. Hier je parlais avec un spécialiste des chauve-souris et j’ai mentionné l’ivermectine. Il m’a dit que cet antiparasitaire largement utilisé en médecine vétérinaire pose un grave problème au niveau de la biodiversité : il rend toxiques les déjections des animaux traités. Donc les insectes qui étaient chargés de leur élimination disparaissent, et aveec eux les prédateurs de ces insectes, dont font partie les chauve-souris.
    On peut donc essayer d’imaginer l’impact d’une consommation d’ivermectine “à titre préventif” par des milliards d’êtres humains… Cela n’a rien d’un médicament “inoffensif”.
    Quant au traitement des formes symptomatiques de la CoVID, je me demande dans quel intérêt des scientifiques ou des médecins ayant déjà pignon sur rue s’accrochent désespérément à leur foi dans l’ivermectine malgré les études qui n’en ont pas prouvé l’efficacité. Où est le conflit d’intérêt ?
    Cela dit, je ne vois pas comment on pourrait monter des essais cliniques randomisés contrôlés sur des “cocktails” de médicaments, en mettant à l’essai toutes les combinaisons à différents dosages. Alors que c’est faisable lorsqu’on se concentre sur une seule molécule.
    Concrètement, si j’étais gravement malade de CoVID — prouvant ainsi que mon immunité naturelle n’a pas assez bien fonctionné — je n’hésiterais pas à essayer une “potion magique” (comme le protocole I-MASK+) concoctée et expérimentée par un large groupe de médecins. ;-)

      1. C’est vrai. Par “gravement” je voulais dire à un point où je constate que la situation ne s’améliore pas malgré mes tentatives. La frontière entre “physiologique” (l’organisme se débarrasse tout seul de ses agresseurs) et “pathologique” (si on ne fait rien ça ira de plus en plus mal) est impossible à prédire honnêtement.

        Dans mon expérience de nombreuses fièvres inexpliquées (surtout en Inde) j’ai vécu de violentes fièvres qui me clouaient au lit pendant 12 à 24 heures, puis pleine forme. En septembre l’an dernier, la durée était de 48 heures, signe de plus grande gravité. Actuellement je me dis que je commencerais à essayer un traitement si la maladie pesistait plus de 48 heures. Mais c’est purement théorique.

    1. Bonjour Sten,

      Il faudrait définir ce qu’est un conflit d’intérêt. Mais dans le sens général où on l’entend, non, aucun.

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